Note :
Les critiques de la poésie de Lucille Clifton soulignent la qualité musicale de son œuvre et son accessibilité, ce qui la rend agréable tant pour les amateurs de poésie que pour les lecteurs occasionnels. Cependant, il existe des problèmes logistiques non liés à la livraison du livre.
Avantages:Sa poésie est décrite comme une « musique de mots », accessible à tous les lecteurs, avec une combinaison de joie et de réalité dans ses thèmes. Les cadences rythmiques et la sélection minutieuse des mots améliorent l'expérience de lecture.
Inconvénients:L'un des évaluateurs a rencontré un problème logistique : son colis était vide et non scellé, ce qui indiquait des problèmes potentiels dans le processus de livraison.
(basé sur 4 avis de lecteurs)
Voices
En 2007, Lucille Clifton est devenue la première Afro-Américaine à remporter le Ruth Lilly Poetry Prize, l'un des prix de poésie américains les plus prestigieux et l'une des plus grandes distinctions littéraires pour un ouvrage en langue anglaise. Clifton a également remporté le National Book Award en poésie pour Blessing the Boats (BOA Editions, 2000), et est le seul auteur à avoir publié deux recueils, Good Woman : Poems and a Memoir (BOA Editions, 1987) et Next : New Poems (BOA Editions, 1987), nommés finalistes du prix Pulitzer la même année.
Dans Voices, Clifton poursuit sa célèbre esthétique en écrivant des poèmes pour les personnes défavorisées et privées de pouvoir, tout en trouvant l'humour et la rédemption dans les nombreuses épreuves de la vie. Ce livre met également en lumière la capacité de Clifton à écrire des monologues dramatiques inventifs. Voices comprend des monologues prononcés par des animaux, ainsi que par les porte-parole des produits alimentaires Aunt Jemima, Uncle Ben et le type apparemment sans nom sur la boîte de Cream of Wheat.
« crème de blé
Parfois la nuit
Nous nous promenons dans les allées du marché
Ben, Jemima et moi, ils
Ils marchent devant en fredonnant ceci et cela
Je traîne derrière
Essayant d'enlever ma toque de chef
En me demandant ce qui m'a imaginé
Puis m'a laissé sans personne
Rastus
J'ai lu dans un vieux journal qu'on m'appelait Rastus
Mais aucune mère n'a jamais
Ne l'a jamais donné à son fils
Vers l'aube, nous retournons
A nos étagères
Nos boîtes, Ben, Jemima et moi
Nous posons et sourions, je mijote
Je me demande quel est mon nom
BOA Editions a le plaisir de présenter le dernier recueil de poèmes de la seule et unique Lucille Clifton.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)