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The Silent Ones
The Silent Ones, le premier livre de Michael McMahon, présente un enfant qui vit dans un jardin d'ombres qui le blessent et le soutiennent. « The Wish » suggère comment il relie la mort soudaine de son père à un jingle sinistre qu'il a adressé par dérision à son père qui faisait la sieste. Les racines de sa culpabilité sont établies dans des poèmes comme « Quiet Time » et « Holy Writ », où les regards renfrognés des religieuses sévères de son école primaire catholique deviennent des sources de honte intériorisées. Juxtaposés à cette culpabilité, des poèmes comme « Headwaters » et « Picnic at Taughannock » célèbrent les bienfaits de la famille.
Dans la deuxième partie de The Silent Ones, les forces qui blessent et guérissent s'écoulent dans un monde naturel qui reflète et façonne l'individu. « Wilderness » est hanté par les cris dissonants des coyotes qui déchirent les branches du pin de Jeffery tout au long de la nuit. Dans « Raptor », le poète s'effraie du battement d'ailes d'une buse à queue rousse en train d'attaquer. À l'inverse, « Camping by the Klamath » célèbre le cerf mulet, le balbuzard et la demoiselle au bord du ruisseau, l'un des nombreux poèmes de la deuxième partie qui louent la capacité du monde naturel à accorder une grâce réparatrice.
La dernière partie, qui tente de résoudre ces tensions, invoque les pouvoirs des ancêtres. Les poèmes décrivent ici la confiance affectueuse des parents, grands-parents, grands-oncles et tantes qui, se souvenant de ce qui s'est passé, lui pardonnent encore et encore, jusqu'à leurs tombes et au-delà.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)