The Aftermath of the Cassinga Massacre: Survivors, Deniers and Injustices
Il a fallu moins de quatre heures à l'ancienne force de défense sud-africaine (SADF) pour tuer plus de huit cents réfugiés namibiens à Cassinga, le 4 mai 1978.
Des milliers de survivants ont subi des blessures physiques et émotionnelles irréparables. Le traumatisme non cicatrisé de Cassinga, un camp civil namibien situé dans le sud de l'Angola avant le massacre, dépasse le pire de ce que les victimes de l'attaque ont vécu sur le terrain.
Des couches inacceptables de douleur et de souffrance continuent de croître et de se multiplier, car les griefs des victimes et d'autres questions découlant des conséquences du massacre ont été ignorés, en particulier après l'indépendance politique de la Namibie. Ce livre explore les séquelles des souvenirs traumatiques des victimes et leur aspiration à la justice face à l'impunité totale dont jouissent les auteurs du massacre de Cassinga, bien qu'ils nient toujours avoir tué et mutilé des civils innocents, dans le but de sensibiliser le public aux circonstances malheureuses des victimes de Cassinga.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)