Note :
Les critiques reflètent la confusion et la frustration des lecteurs qui ont acheté par erreur un livre intitulé « Les raisins de la colère », qui n'est pas le classique de John Steinbeck. De nombreux commentaires expriment la déception de réaliser que le livre n'est pas lié au récit de Steinbeck sur le Dust Bowl et qu'il se concentre plutôt sur les expériences d'un soldat britannique pendant la Première Guerre mondiale. Certains lecteurs ont trouvé que le livre était mal édité et qu'il n'était pas édifiant, tandis que d'autres ont reconnu sa perspective historique et sa description crue de la guerre.
Avantages:Certains lecteurs apprécient le contexte historique et les images crues liées à la Première Guerre mondiale, soulignant ainsi sa valeur éducative. Quelques critiques notent qu'en dépit de la confusion avec le titre, le livre pourrait contribuer à la compréhension de cette période par le lecteur.
Inconvénients:Le principal problème relevé par les critiques est le titre trompeur, car beaucoup ont acheté le livre en s'attendant à la version de Steinbeck. Les critiques ont souvent décrit le livre comme étant mal édité, confus et peu engageant, et plusieurs utilisateurs ont exprimé leur irritation quant au choix de l'auteur d'utiliser un titre similaire pour capitaliser sur la célébrité du classique.
(basé sur 71 avis de lecteurs)
Grapes of wrath
Boyd Cable était le pseudonyme d'Ernest Andrew Ewart (1878-1943). Il s'agit d'un auteur anglais qui a émigré en Australie.
Ses autres ouvrages - tous écrits sous le pseudonyme de "Boyd Cable" - comprennent des livres sur l'économie, la navigation et l'histoire militaire, notamment Doing Their Bit : War Work at Home (1916), British Battles of Destiny (1926) et A Hundred Year History of the P. & O. (1937).
Un article écrit par Narrung" et publié dans Smith's Weekly en 1919 donne un bref aperçu d'Ewart et de son alter ego : Boyd Cable n'est pas un Australien de naissance.
Il a vécu ici assez longtemps pour admettre, lorsque je l'ai connu en 1911-12, que l'Australie était la meilleure des terres. Aucun de ses ouvrages publiés n'a jamais révélé son véritable nom - Ernest Ewart.
Grand ami de feu Samuel Locke, il faisait partie d'une petite coterie qui passait de nombreux dimanches agréables à naviguer dans les baies du port. Ewart, qui avait servi en Afrique du Sud, avait des idées très arrêtées sur la menace du militarisme européen. Il n'y a aucune raison de reprocher à "Boyd Cable" son succès local en tant que "best-seller".
"La plupart de ses livres méritent qu'on s'y attarde et, à l'époque du "silence" de 1915-1916, il nous a livré de nombreux secrets sans que la censure ne soit poussée jusqu'à la trahison. D'ailleurs, peu de gens savent qu'il a séjourné en Australie (5 juillet 1919, p. 3).
(austlit. edu.
au)
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)