Note :
Aunt Jane's Nieces in the Red Cross est le dernier volume d'une série écrite par L. Frank Baum sous le pseudonyme d'Edith Van Dyne, qui suit les aventures de l'oncle John et de ses nièces alors qu'ils participent à des efforts humanitaires pendant la Première Guerre mondiale. Le récit explore les défis liés à la gestion d'un navire-hôpital neutre au milieu des horreurs de la guerre et les sentiments d'impuissance éprouvés par ceux qui veulent apporter leur aide mais sont limités par la neutralité politique.
Avantages:Le livre présente une intrigue audacieuse et unique pour l'époque, mettant en évidence les défis et les responsabilités auxquels sont confrontés les personnages désireux d'apporter leur aide dans un contexte de guerre. Il explore avec succès les thèmes complexes de la neutralité et des horreurs de la guerre, ce qui en fait une lecture pertinente et stimulante, en particulier pour un public adolescent. La révision de Baum après l'entrée en guerre des États-Unis ajoute de la profondeur à l'histoire.
Inconvénients:Certains lecteurs peuvent trouver que la combinaison de l'horreur de la guerre et des thèmes liés à l'adolescence est choquante ou inappropriée pour un jeune public. En outre, le récit peut sembler décousu par rapport aux autres volumes de la série, car il s'écarte des aventures légères habituelles pour aborder des sujets plus sérieux.
(basé sur 1 avis de lecteurs)
Aunt Jane's Nieces in the Red Cross
Quelles sont les nouvelles, mon oncle ? demanda Miss Patricia Doyle en entrant dans l'agréable salle de petit-déjeuner d'une suite d'appartements à Willing Square.
Tout en parlant, elle déposa un petit baiser sur le front de l'homme grassouillet qu'on appelait "mon oncle" - qui n'était autre, si vous le voulez bien, que le célèbre et excentrique multimillionnaire connu à Wall Street sous le nom de John Merrick - et s'assit pour verser le café. Il y avait de l'énergie dans sa façon d'accomplir cette tâche simple, une indication de vitalité refoulée qui donnait l'idée qu'il s'agissait d'une fille habituée à l'action.
Et elle s'intégrait bien dans le décor familial : petite et un peu trapue, rousse, avec des taches de rousseur et un nez de carlin. Patsy Doyle était plus saine que belle, mais si l'on entrevoyait ses yeux bleus dansants, on oubliait tout de suite ses moindres charmes.
© Book1 Group - tous droits réservés.
Le contenu de ce site ne peut être copié ou utilisé, en tout ou en partie, sans l'autorisation écrite du propriétaire.
Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)