Note :
Il n'y a actuellement aucun avis de lecteur. La note est basée sur 2 votes.
The Words We Do Not Have
Dans The Words We Do Not Have, Steve Brisendine met l'accent sur l'expérience - un voyage en voiture avec son fils, des soirées passées à jouer au billard, un camarade d'enfance maltraité - ainsi que sur des explorations méditatives de la vie, de la mort, du vieillissement et de la foi. L'auteur utilise comme titre pour chaque poème un mot étranger inhabituel (accompagné de sa définition), une stratégie qui unifie le recueil, tout en produisant des trajectoires délicieuses et inattendues au fur et à mesure que les poèmes se déroulent. Le lexique imaginatif de Brisendine nous offre un espace où "un cœur s'est/ déversé, où les mots ont fleuri/ en quelque chose qui dépasse les mots".
-Janice Northerns, auteur de Some Electric Hum
"Nous avons suffisamment de vent au Kansas", déclare Steve Brisendine en ouverture de son excellent nouveau livre. "Quand vous marchez dans le vent, il tire". En commençant par le langage du vent, Brisbane révèle un monde sombre à travers une série de langues. Dans "Mokita", un camarade de classe est maltraité et réduit au silence, avant de mourir. Nous apprenons la signification Kilivila du titre : "quelque chose que tout le monde sait mais dont personne ne parle". Esquissant une "descente glissante", ces poèmes graves, parfois minutieux (comme dans "Qarba", l'apparition de poils blancs dans la barbe d'un homme), soulignent comment la vie nous donne "l'espoir de retrouvailles... mais aussi la certitude que cela n'arrivera peut-être jamais". Sombre, global, nuancé dans la façon dont il révèle un monde de poussière".
-Tyler Robert Sheldon, rédacteur en chef de .
MockingHeart Review et auteur de Consolation
Prix (Finishing Line Press, 2018)
© Book1 Group - tous droits réservés.
Le contenu de ce site ne peut être copié ou utilisé, en tout ou en partie, sans l'autorisation écrite du propriétaire.
Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)