Note :
Le livre fournit une histoire détaillée de la théorie du grand remplacement et de l'influence de certains groupes haineux sur le GOP, et reçoit des éloges pour ses recherches et son écriture captivante. Cependant, il est critiqué pour avoir été trop axé sur les détails historiques au détriment des récits personnels, pour avoir été perçu comme un parti pris en faveur d'une perspective démocrate et pour avoir traité le débat sur l'immigration de manière unilatérale.
Avantages:Bien documenté, excellent aperçu historique, lecture attrayante et fascinante, fortement recommandée par certains critiques.
Inconvénients:Trop de détails historiques inintéressants, manque de voix d'immigrés, parti pris apparent en faveur des démocrates, écrit dans un style décousu, ne présente pas de preuves de racisme dans les arguments de réduction de l'immigration, perspective politique unilatérale.
(basé sur 6 avis de lecteurs)
White Borders: The History of Race and Immigration in the United States from Chinese Exclusion to the Border Wall
Ce livre puissant et méticuleusement argumenté révèle que les mesures de répression de l'immigration... (ont) toujours eu pour but de sauver et de protéger l'idée raciste d'une Amérique blanche".
--Ibram X. Kendi, auteur primé de Four Hundred Souls et Stamped from the Beginning
"Une enquête accablante sur l'histoire de la frontière en tant que lieu où la race est créée et où le racisme s'affine en une idéologie tranchante".
--Greg Grandin, auteur lauréat du prix Pulitzer de La fin du mythe ...
Les récentes politiques racistes anti-immigration, du mur frontalier à l'interdiction des musulmans, ont amené de nombreux Américains à s'interroger : Comment en sommes-nous arrivés là ? Dans un récit que les lecteurs qualifient de "glaçant et révélateur", Reece Jones révèle la douloureuse réponse : bien que les États-Unis soient souvent présentés comme une nation d'immigrants, ils ont une longue histoire de restrictions à l'immigration qui trouvent leur origine dans la crainte raciste du "grand remplacement" des Blancs par de nouveaux arrivants non blancs. Après l'arrivée du premier navire négrier en 1619, les colonies qui sont devenues les États-Unis ont été fondées sur la double base de l'immigration ouverte aux Blancs d'Europe du Nord et de l'exclusion raciale des esclaves d'Afrique, des Amérindiens et, finalement, des immigrants d'autres parties du monde.
L'érudition de M. Jones brille par ses recherches approfondies sur les dessous racistes et xénophobes des États-Unis. Il fait le lien entre le passé et le présent pour découvrir le lien entre les lois d'exclusion des Chinois des années 1880, le nativisme "Keep America American" des années 1920 et les chants "Build the Wall" lancés par l'ancien président Donald Trump en 2016. En cours de route, nous rencontrons un groupe étrange de personnages anti-immigration, tels que John Tanton, Cordelia Scaife May et Stephen Miller, qui ont poussé des idées marginales sur le "génocide blanc" et le "suicide racial" dans le discours politique dominant. Au travers d'histoires captivantes et d'analyses approfondies des principales affaires d'immigration, Jones explore les liens entre les groupes haineux anti-immigration et le Parti républicain. Cet examen met à nu non seulement l'intersection entre la suprématie blanche et les préjugés anti-immigration, mais aussi les effets durables que cette tempête de haine a eus sur le droit américain.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)