Derechos Humanos En La Literatura Y Cine Venezolano
Comme le fait remarquer Ramn Escovar Len dans la préface de Carlos Revern Boulton, les romans, les nouvelles, les chroniques, les poèmes et les essais peuvent être utilisés dans l'enseignement du droit pour élargir les perspectives sur les cas étudiés ; en d'autres termes, la littérature peut être utilisée pour soulever des problèmes spécifiques. C'est précisément ce que l'auteur a fait dans cet ouvrage, en abordant les questions juridiques d'un point de vue littéraire, élargissant ainsi les critères d'interprétation des juges et des avocats.
Le livre de Carlos Revern Boulton se compose, outre l'introduction et les conclusions, de trois chapitres. Le premier traite des droits de l'homme. Le deuxième met en relation le droit avec la littérature et le cinéma.
Le troisième chapitre examine une liste d'œuvres littéraires, dont "La muerte de Honorio" de Miguel Otero Silva et "Patria o Muerte" d'Alberto Barrera Tyszka, ainsi que deux films vénézuéliens : "Disparen a matar" et "Azul y no tan rosa". Ces œuvres ont été sélectionnées par l'auteur afin d'examiner les questions relatives aux droits de l'homme et à la constitution que ces œuvres artistiques soulèvent.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)