Note :
Le livre « Les dernières sorcières d'Angleterre : A Tragedy of Sorcery and Superstition » de John Callow examine l'histoire tragique des sorcières de Bideford, qui furent le dernier groupe exécuté pour sorcellerie en Angleterre. Bien qu'il fournisse un contexte social et politique détaillé pour leur persécution, les opinions sur le style d'écriture varient, certains le trouvant instructif et d'autres le considérant comme sec et répétitif.
Avantages:Le livre est instructif et bien documenté, et fournit un contexte social convaincant pour les procès de sorcellerie. Il soulève des questions importantes sur les accusations de sorcellerie et met en lumière l'histoire tragique des sorcières de Bideford, ce qui en fait une lecture importante pour ceux qui s'intéressent à l'histoire et à la justice sociale.
Inconvénients:Le style d'écriture est considéré comme sec et ennuyeux par certains lecteurs, manquant du flair narratif qui pourrait intéresser un public plus large. Le livre peine à trouver un équilibre entre la rigueur académique et l'accessibilité de la narration, ce qui entraîne une tendance à la répétition et une focalisation sur des détails non pertinents qui détournent l'attention de l'histoire principale des sorcières.
(basé sur 2 avis de lecteurs)
The Last Witches of England: A Tragedy of Sorcery and Superstition
Intrigant, BBC History Magazine
Le matin du jeudi 29 juin 1682, une pie vint frapper à la fenêtre d'un marchand prospère du Devon. Effrayés par son apparition, ses serviteurs et les membres de sa famille se sont convaincus en quelques heures que l'oiseau était un émissaire du diable envoyé par les sorcières pour détruire le tissu de leur vie. À la suite de ces allégations, trois femmes de Bideford ont été définies à jamais comme des sorcières. Un secrétaire d'État a balayé leur affaire et les a condamnées à la potence.
Ce sera le dernier groupe de femmes à être exécuté en Angleterre pour ce crime. Pourtant, la haine de leurs voisins perdura. Car Bideford, disait-on, était un lieu de sorcières.
La croyance en la sorcellerie, bien qu'à peu près éteinte, a perduré plus d'un siècle après leur mort. Tour à tour ignorées, injuriées, éteintes mais jamais plus qu'à moitié oubliées, il semble que le souvenir de ces trois femmes - et de leurs actes et souffrances, réels ou imaginaires - soit passé du chancre au regret, et du regret à la célébration à notre époque. En effet, leur exemple a été cité lors des derniers débats parlementaires, en 1951, qui ont abouti à l'abrogation de la dernière loi sur la sorcellerie, et leurs noms ont été chantés, à la fois comme inspiration et comme incantation, par les femmes qui se trouvaient au-delà des barbelés à Greenham Common.
Dans ce livre, John Callow explore ce remarquable renversement du destin et l'histoire remarquable des sorcières de Bideford.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)