Flash Floods are Anomalies
Ces brefs poèmes en prose fonctionnent comme des « méditations dans une émergence », bien que ce qui émerge - c'est-à-dire l'existence, l'être, tout cela - reste toujours non fixé, hors de portée. Le résultat n'est pas une désorientation, mais une sorte de tendresse pour les tentatives fragmentées, mais souvent belles, de connaissance, « la façon dont les mots se développent sur la page ». Ces poèmes s'inscrivent dans l'air du temps. Ils évoquent l'incertitude et l'énormité qui semblent nous éclipser, et l'espoir que les humains sont « autre chose que perdus ».
Allison Cobb, auteur de Plastic : An Autobiography.
Ces poèmes en prose jouent à la marelle et planent au-dessus d'un terrain de jeu aux paysages sonores changeants, comme des inondations soudaines de murmures sur des blés balayés par le vent. « Incendié dans une tempête de grange ». « Une télévision en marche arrière ». « Agogged. Les instants discrets d'étonnement disjonctif de Morse nous accueillent comme des amis avec ces passages mercuriels dans le tourbillon des mots. « Cher couloir, je t'appellerai quoi qu'il arrive. » Plongez dans le courant des anomalies onomatopétiques et vous nagerez avec les dauphins qui se crêtent, « dreamt afoot. Ou à flot ».
-W. Scott Howard, rédacteur en chef de Denver Quarterly.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)