Note :
Le livre présente un point de vue controversé sur la corruption politique à Somerville, en se concentrant principalement sur le maire Joe Curtatone. Si certains lecteurs l'ont trouvé perspicace et intéressant, beaucoup ont critiqué la qualité de l'écriture, la partialité perçue et le manque de rigueur factuelle.
Avantages:⬤ Révèle des histoires de corruption politique
⬤ offre un aperçu de la politique locale
⬤ certains lecteurs ont eu du mal à le lire
⬤ apprécié par ceux qui connaissent le paysage politique de Somerville.
⬤ Nombreuses fautes d'orthographe et de grammaire
⬤ mauvaise qualité et structure de l'écriture
⬤ contenu répétitif
⬤ perçu comme partial
⬤ manque de contexte pour les lecteurs qui ne connaissent pas la situation.
(basé sur 21 avis de lecteurs)
Stealing Somerville: The Death of an Urban City
Le maire Joe Curtatone vole Somerville : Death of an Urban City (La mort d'une ville urbaine) est une exposition d'abus, une compilation d'articles du Somerville News Weekly, un journal local. William Tauro est journaliste d'investigation et éditeur du journal.
Tauro montre les effets omniprésents des six mandats du maire Joseph Curtatone. Des sources affirment que des bretelles de sortie menant à des petites entreprises ont été fermées pour les chasser, et que des maisons et des propriétés ont été saisies par domaine éminent. Le maire et les partenaires de développement ne donnent pas la valeur marchande des propriétés.
La ville s'approprie les terrains et les logements sont construits sous l'égide du gouvernement local.
Les personnes qui veulent construire font appel à des entreprises approuvées par le maire. Les offres des entrepreneurs et des vendeurs sont trafiquées afin que les négociations favorisent les administrateurs municipaux.
Le maire demande 10 000 dollars aux candidats pompiers pour obtenir un emploi. Un cas s'est soldé par un décès. Le candidat, un Navy SEAL, qui avait obtenu d'excellents résultats à l'examen d'entrée, a vu sa candidature rejetée.
Son père a refusé de payer les frais. Le candidat s'est suicidé. La police dissimule les faits pour le compte du maire.
Un policier, cousin du maire, a tenté de voler les objets de valeur d'une victime décédée. Un policier homosexuel s'est vu refuser des droits pour faire face à un traitement négatif.
Sa pension est remise en question. La consommation de drogues du maire alimente les problèmes. Aucune réfutation ou accusation n'a été déposée contre Tauro.
Une enquête du gouvernement fédéral est envisagée.
Le maire a été réélu pour un septième mandat de deux ans. Le conseil municipal a été remplacé par du sang neuf grâce aux publications de Tauro lors des élections. Espérons que ce changement atteindra le bureau du maire.
© Book1 Group - tous droits réservés.
Le contenu de ce site ne peut être copié ou utilisé, en tout ou en partie, sans l'autorisation écrite du propriétaire.
Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)