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The Robbery of Nature: Capitalism and the Ecological Rift
Combler le fossé entre les critiques sociales et environnementales du capitalisme
Au XIXe siècle, Karl Marx, inspiré par le chimiste allemand Justus von Liebig, a affirmé que la relation du capitalisme avec son environnement naturel était celle d'un système de vol, conduisant à une rupture irréparable du métabolisme entre l'humanité et la nature. Au XXIe siècle, ces idées classiques sur la dégradation de la terre par le capitalisme sont devenues la base d'avancées extraordinaires dans la théorie et la pratique critiques associées à l'écosocialisme contemporain.
Dans The Robbery of Nature, John Bellamy Foster et Brett Clark, s'inscrivant dans cette tradition historique, examinent le pillage de la nature par le capitalisme via la production de marchandises et la manière dont il a conduit à la faille anthropogénique actuelle dans le système terrestre.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)