Note :
Les critiques présentent des perspectives contrastées sur « Tea of Ulaanbaatar ». L'un d'eux critique le livre pour son manque d'originalité, son style d'écriture médiocre ressemblant à une imitation de Cormac McCarthy et sa description peu convaincante de la toxicomanie. L'autre critique fait l'éloge d'un premier roman remarquable qui capture les luttes existentielles des volontaires du Peace Corps en Mongolie, en soulignant ses éléments noirs et la profondeur psychologique des personnages.
Avantages:La seconde critique fait l'éloge de ce roman pour son style narratif unique, la richesse du développement des personnages et l'exploration de thèmes existentiels. La description de la Mongolie et des expériences psychologiques des personnages est décrite comme profonde, avec des éléments de comédie noire et une description vivante d'un environnement claustrophobe, rappelant la littérature classique.
Inconvénients:La première critique met en évidence des défauts importants, reprochant au style d'écriture une imitation bâclée de Cormac McCarthy, un manque de clarté dans les dialogues et une description peu convaincante de l'expérience de la drogue. L'intrigue est qualifiée de clichée et de superficielle, n'abordant pas de thèmes plus profonds de manière efficace, ce qui rend la lecture fastidieuse.
(basé sur 2 avis de lecteurs)
Tea of Ulaanbaatar
Le premier roman de Christopher Howard, finaliste du National Magazine Award, Tea of Ulaanbaatar, raconte l'histoire de Warren, volontaire du Peace Corps mécontent, qui fuit la vie dans l'Amérique capitaliste tardive pour se retrouver dans l'enfer industriel post-soviétique de la Mongolie urbaine.
Alors que la présence américaine s'effrite, Warren cherche à s'évader dans le tsus, le mystérieux « thé du sang » qui pourrait être la revanche finale des Khans vaincus - ou qui pourrait n'être qu'un puissant hallucinogène agissant sur un esprit inquiet - tandis qu'une fantasmagorie de violence l'enveloppe peu à peu. Avec une prose qui combine le mordant satirique de Benjamin Kunkel, la sombre réimagination historique de William Burroughs et une beauté littéraire luxuriante qui lui est propre, Christopher Howard déploie dans Tea of Ulaanbaatar une histoire d'angoisse d'expatrié, le côté sombre de la mondialisation et les cauchemars de la classe moyenne, et s'annonce comme l'un des romanciers américains les plus inventifs et les plus ambitieux de la nouvelle génération.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)