Note :
Le livre « The Wren, The Wren » d'Anne Enright explore les relations complexes entre trois générations de femmes d'une famille irlandaise, autour de l'héritage d'un poète, Phil McDaragh, qui a abandonné sa famille. Le roman aborde les thèmes du traumatisme familial, de la poésie et des contradictions de l'amour et de l'abandon, exprimés à travers les perspectives de Carmel, de sa fille Nell et de leur patriarche absent. Il est décrit comme étant à la fois d'une grande beauté lyrique et d'une grande lourdeur thématique, suscitant des réactions mitigées de la part des lecteurs.
Avantages:⬤ Une langue magnifique et une écriture lyrique
⬤ une exploration captivante des relations familiales
⬤ des portraits réfléchis de personnages complexes
⬤ un large éventail d'expériences émotionnelles
⬤ certains lecteurs ont apprécié la profondeur et l'introspection de l'histoire.
⬤ Beaucoup ont trouvé l'intrigue alambiquée ou manquant de cohérence
⬤ certains l'ont décrite comme oubliable ou légèrement intéressante
⬤ le contenu graphique et les thèmes de la violence pourraient en rebuter certains
⬤ les tons de tristesse et de traumatisme pourraient sembler accablants
⬤ un rythme et une structure narrative incohérents ont été notés.
(basé sur 36 avis de lecteurs)
The Wren, the Wren
Nell McDaragh n'a jamais connu son grand-père, le célèbre poète irlandais Phil McDaragh. Mais ses poèmes d'amour semblent lui parler directement. À vingt-deux ans, Nell, inquiète et sournoisement sûre d'elle, quitte la maison bien rangée de sa mère Carmel pour trouver sa propre voix en tant qu'écrivain (principalement en ligne, en faisant du ghost-blogging pour un influenceur) et pour vivre une vie poétique. Alors qu'elle poursuit l'amour obsessionnel, les dommages et la transcendance, à Dublin et au-delà, la poésie de son grand-père semble la guider jusqu'à la maison.
La mère de Nell, Carmel McDaragh, connaît trop bien la magie de la poésie de son père, le genre de magie qui pousse les femmes en chemise de nuit à sortir pour s'embrasser, puis à s'enfuir, comme l'avait fait sa mère Terry. Dans ses poèmes à Carmel, Phil imagine sa fille comme un roitelet aux yeux brillants qui s'échappe de sa main. Mais c'est Phil qui part, abandonnant sa femme et ses deux jeunes filles. Carmel lutte pour réconcilier "le poète" avec le père dont l'abandon marque sa vie, ainsi que celle de sa sœur farouchement dévouée et de leur mère douce et rongée par le cancer. Pour se distancer de cette trahison, Carmel se replie sur elle-même et élève seule Nell, sa fille et son unique amour.
The Wren, the Wren donne vie à trois générations de femmes McDaragh qui doivent faire face à des héritages : l'émerveillement poétique et l'abandon par un homme qui est loué en public et négligemment égoïste à la maison. Leur autre héritage, plus fort, est un amour durable qui est "plus qu'un brin d'ADN, mais une corde jetée du passé, une grosse corde tordue, pleine de sang". Dans une prose acérée parsemée de poésie cristalline, Anne Enright tresse avec maestria une histoire familiale de désir, de trahison et d'espoir.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)