Note :
Dans l'ensemble, « Tunnel Rat in Vietnam » offre une vision ciblée du rôle unique des Tunnel Rats de l'armée américaine pendant la guerre du Vietnam, en mettant en lumière leur équipement et leurs tactiques, tout en donnant un aperçu de la guerre dans les tunnels. L'ouvrage a toutefois été critiqué pour la qualité de son écriture et le manque de récits personnels approfondis.
Avantages:Le livre est instructif et donne un bon aperçu de la guerre dans les tunnels. Il couvre l'équipement et les tactiques utilisés par les Tunnel Rats et constitue une ressource précieuse pour comprendre leur rôle au Viêt Nam. Certains lecteurs apprécient son côté divertissant et le trouvent captivant, en particulier ceux qui ont des liens avec l'armée.
Inconvénients:De nombreux commentaires signalent des erreurs de grammaire et d'orthographe tout au long de l'ouvrage. Certains lecteurs ont trouvé certaines parties du livre sèches et expéditives, en particulier les récits de la formation initiale. Le livre manque d'histoires personnelles de véritables Tunnel Rats, et il tend à se concentrer sur l'équipement plutôt que sur les expériences de combat. Les illustrations sont mentionnées comme un point faible, et certains lecteurs ont estimé que l'ouvrage ne valait pas la peine d'être acheté.
(basé sur 13 avis de lecteurs)
Tunnel Rat in Vietnam
En 1965, peu après l'arrivée des premières troupes de combat américaines au Viêt Nam, on s'est rendu compte que, dans certaines régions, le Viêt-cong avait mis au point de vastes complexes de tunnels pour se cacher de l'ennemi. On savait depuis longtemps que de tels complexes existaient, mais on n'avait pas réalisé à quel point ils étaient étendus dans certaines régions, à quel point ils étaient importants pour le Viêt-cong et à quel point il était difficile de les détecter et de les neutraliser.
La plupart des complexes n'étaient pas aussi développés et étendus que les célèbres tunnels de Cu Chi, mais ils ont néanmoins posé des problèmes aux forces du monde libre. Les tunnels servaient de cachettes pour les soldats, les armes, les munitions, la nourriture et le ravitaillement et réduisaient à néant l'objectif des missions de recherche et de destruction destinées à éradiquer le Viêt-cong. Une fois que les forces du monde libre ont "nettoyé" la zone, les Viêt-congs sortent de leurs tunnels et poursuivent leurs activités.
Il ne servait pas à grand-chose d'apprendre à détecter les entrées de tunnels et les trous d'air sans débusquer l'ennemi. Il fallait bien que quelqu'un aille les chercher. Il fallait aussi découvrir l'étendue des complexes de tunnels, récupérer ou détruire les armes, les munitions, les fournitures et les documents, et détruire ou neutraliser les tunnels eux-mêmes afin d'empêcher qu'ils ne continuent à être utilisés.
Au début, des fantassins se sont portés volontaires pour pénétrer dans les tunnels armés uniquement de pistolets et de lampes de poche - les "coureurs de tunnels" étaient nés, connus des Australiens sous le nom de "furets de tunnels".
Au départ, il s'agissait d'une force ad hoc composée de fantassins, d'ingénieurs de combat et de troupes chimiques. Peu de temps après, les unités ont été "officialisées" en tant que "personnel d'exploration des tunnels" et des "équipes d'exploitation et de refus des tunnels" composées de 4 à 6 hommes ont été créées. On les appelait simplement les "rats des tunnels" et leur devise officieuse était "Non Gratum Anus Rodentum", c'est-à-dire "Ça ne vaut pas un clou".
Ce titre est basé sur les récits personnels de ceux qui ont servi dans ce rôle unique, et décrit l'entraînement et l'équipement spécialisés, sans oublier les tactiques et les expériences de combat, de ceux qui ont mené une guerre souterraine contre le Viêt-cong au Viêt-nam.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)