Note :
Les critiques de « The Napoleon of Notting Hill » témoignent d'un mélange d'admiration pour l'esprit et la satire de Chesterton, et de critiques sur le rythme du livre et son absurdité occasionnelle. Les lecteurs apprécient ses thèmes de réflexion liés à la politique et à la communauté, considérant qu'il s'agit d'une lecture pertinente malgré le fait qu'elle ait été écrite il y a plus d'un siècle.
Avantages:⬤ Style d'écriture intelligent et humoristique, mettant en valeur l'esprit de Chesterton.
⬤ Il aborde des thèmes pertinents sur la politique, l'identité communautaire et les préoccupations culturelles.
⬤ Les personnages, bien qu'exagérés, jettent un regard satirique sur la société.
⬤ De nombreux lecteurs expriment un sentiment de plaisir et d'appréciation pour le récit et ses significations profondes.
⬤ L'écriture peut être difficile à digérer, avec des phrases parfois alambiquées.
⬤ Certains personnages et éléments de l'intrigue peuvent sembler exagérément ridicules ou farfelus.
⬤ Les problèmes de rythme, en particulier au milieu du livre, peuvent entraîner l'ennui chez certains lecteurs.
⬤ L'absurdité de l'intrigue peut être déconcertante, ce qui en fait une lecture polarisante.
(basé sur 129 avis de lecteurs)
The Napoleon of Notting Hill
Quand les futurs dystopiques ne semblent pas si futurs que ça...
Quatre décennies avant que George Orwell n'écrive 1984, Le Napoléon de Notting Hill a défini le genre dystopique. Dans l'une des premières comédies dystopiques, G. K. Chesterton explore la question de savoir à quoi ressemblerait une société où personne n'accepterait de plaisanter, au lieu d'une vision sombre de bottes et d'États de surveillance.
Dans cette Angleterre du futur, chaque nouveau roi est désigné par tirage au sort. Lorsqu'Auberon Quin, un homme qui ne s'intéresse qu'aux bonnes blagues, est choisi pour être le prochain roi, il décide de passer son règne à enseigner à ses collègues gouverneurs à quel point une blague peut être importante.
Alors que la plupart des chefs de district se contentent de supporter les manigances d'Auberon, même lorsqu'il insiste sur des costumes et des héraldiques élaborés, un prévôt prend ses jeux beaucoup trop au sérieux. Lorsque Adam Wayne, le prévôt de Notting Hill, prend une position militaire contre ses collègues et cherche à défendre son petit fief par tous les moyens nécessaires, la plaisanterie d'Auberon est allée trop loin.
À une époque où le genre dystopique est défini par le désespoir, l'humour pince-sans-rire de Chesterton est un répit bienvenu. Suivez Auberon et Wayne dans leur réflexion sur le sens de l'humour et de la vertu dans un monde où les épées ne sont que trop réelles et où la défense de sa fierté pourrait bien se traduire par du sang dans les rues.
Préface de Dale Ahlquist, président de la Société de G. K. Chesterton.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)