Note :
Les critiques de « The Candlelight Master » de Michael Longley présentent un mélange d'admiration pour son talent poétique et d'inquiétude quant à la répétitivité de ses thèmes. Certains lecteurs sont émus par son exploration de thèmes personnels et historiques, tandis que d'autres estiment qu'il s'appuie trop sur ses sujets habituels.
Avantages:Le recueil fait preuve d'une vigueur et d'une légèreté renouvelées, avec des thèmes captivants sur la guerre, l'amour et la nature. Les lecteurs soulignent la profondeur émotionnelle et le ton à la fois élégiaque et festif des poèmes, notant la maîtrise de Longley dans la capture des réflexions personnelles et historiques.
Inconvénients:Certains lecteurs estiment que le recueil revient sur des thèmes familiers et manque de fraîcheur, décrivant certains poèmes comme complaisants et larmoyants. On a l'impression que le travail récent de Longley ne s'éloigne pas de ses réalisations passées.
(basé sur 3 avis de lecteurs)
The Candlelight Master
« Je ne peux supporter l'idée d'un monde sans Michael Longley, et pourtant sa poésie ne cesse de se précipiter vers ce fait de manière de plus en plus urgente, car elle s'étend de manière inébranlable au-delà du confort ou de la certitude. » C'est ce qu'a écrit Maria Johnston dans sa critique du précédent livre de Longley, Angel Hill.
Pourtant, The Candlelight Master ne se contente pas d'affronter les ombres. Le poème-titre résume le clair-obscur de ce recueil, qui porte le nom d'un mystérieux peintre baroque. D'autres poèmes sur des peintres - Matisse, Bonnard - laissent entendre que l'âge rend la quête de la perfection artistique d'autant plus vitale.
Un poème adressé au poète japonais du huitième siècle, Otomo Yakamochi, dit : « Nous contemplons nos paysages de l'âme / Plus intensément chaque année ». Le paysage de l'âme du Candlelight Master est souvent un paysage de mémoire.
Mais si Longley se penche sur ses expériences formatrices et sur les formes qu'il leur a données, il canalise la mémoire dans des structures fraîchement fluides. Ses nouveaux poèmes sur la guerre et l'Holocauste parlent de nos propres périodes sombres. La traduction remet également au goût du jour les poètes disparus.
La paillardise de Catulle devient « Hochmagandy » en écossais. Yakamochi et les poètes lyriques de la Grèce antique se retrouvent chez eux dans le Carrigskeewaun de Longley.
© Book1 Group - tous droits réservés.
Le contenu de ce site ne peut être copié ou utilisé, en tout ou en partie, sans l'autorisation écrite du propriétaire.
Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)