Note :
Les critiques de « The Keeping » de Linda Neal Reising louent sa capacité à évoquer des émotions et à créer des images mémorables à travers sa poésie. Les lecteurs apprécient son récit honnête sur l'enfance et la famille, imprégné de nostalgie et de références culturelles. Ils décrivent son écriture comme étant claire, compatissante et gracieuse, ce qui la rend accessible à un large public. Dans l'ensemble, le livre est considéré comme une excellente lecture lyrique qui trouve un écho chez de nombreuses personnes.
Avantages:⬤ Évoque un large éventail d'émotions
⬤ images mémorables
⬤ écriture claire et compatissante
⬤ accessible à tous les lecteurs
⬤ excellente narration
⬤ lyrique et harmonieuse
⬤ retrace l'histoire de l'Amérique.
Aucun inconvénient particulier n'a été mentionné dans les critiques.
(basé sur 3 avis de lecteurs)
The Keeping
The Keeping est un recueil sincère qui traite de l'enfance dans l'Oklahoma rural, de l'engagement dans le monde naturel et de l'hommage aux femmes. Dès le premier poème intitulé "Our Mothers Would Not Let Us Watch", Linda Neal Reising plonge le lecteur dans le paysage de son enfance, une région rurale de l'Oklahoma, où les mines de plomb et de zinc ont été exploitées des années auparavant, laissant "ces bouches béantes qui n'ont jamais avalé". Elle poursuit en peuplant ce paysage de personnages : un père qui est allé à l'école avec Mickey Mantle dans "No. 7 and Other Heroes", un cousin convaincu d'être traqué par le "F.B.I., la C.I.A., les Russes", et des adolescents qui tentent de naviguer dans l'adolescence en temps de guerre, soucieux d'être "faroutgroovyheavyman". Les racines amérindiennes de l'auteur sont étroitement liées à cette section.
La deuxième section passe à l'examen du monde naturel, mais même là, les animaux sont liés à l'homme, comme dans "Every Little Being", un poème dans lequel on nous présente un vétérinaire qui doit euthanasier les animaux indésirables, ou comme dans "Coyotes", un poème dans lequel les animaux sont chassés pour leur fourrure. La poétesse rend également hommage à d'autres femmes poètes qui ont intégré la nature dans leurs poèmes, à savoir Jane Kenyon et Mary Oliver, dont Reising fait l'éloge dans son vers répété : "I want to see with Mary's eyes" (Je veux voir avec les yeux de Mary).
Enfin, dans la troisième section, la poétesse célèbre les femmes à différentes étapes de leur vie, en commençant par "Women at Forty", une réponse au poème de Donald Justice "Men at Forty". Contrairement au poème de Justice qui déplore le vieillissement, l'œuvre de Reising proclame les joies de l'entrée dans l'âge mûr, lorsque les femmes "apprennent à ouvrir les portes des pièces dans lesquelles elles pensaient ne jamais entrer". Mais, bien sûr, il y a aussi des portraits déchirants de femmes dures qui passent leur vie à travailler trop et à être sous-estimées, comme dans "Kate" et "Driving Lessons".
Tout au long de The Keeping, l'imagerie, le paysage et l'émotion jouent un rôle important. Le voile de l'histoire recouvre également tous les poèmes. Les lecteurs quitteront probablement ce volume avec le portrait d'une personne et d'un lieu rangé dans leur mémoire.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)