Note :
Ce livre propose une exploration éclairante des échantillons de tissus du XIXe siècle et de la vie d'Anne Sykes, entrelaçant l'histoire de la mode et les réseaux sociaux. Les lecteurs apprécient la profondeur de la recherche, les détails fascinants découverts et la perspective unique sur la vie victorienne. Toutefois, nombreux sont ceux qui se disent déçus par le nombre et la qualité limités des illustrations, ce qui les incite à souhaiter davantage de contenu visuel et une meilleure mise en page.
Avantages:⬤ Un aperçu brillant et instructif de la mode et de l'histoire personnelle au XIXe siècle
⬤ une recherche et un style narratif excellents
⬤ un regard fascinant sur le lien entre les textiles et l'histoire sociale
⬤ une fenêtre unique sur la vie des femmes de l'époque victorienne
⬤ un processus de recherche bien documenté
⬤ une narration captivante.
⬤ Nombre limité et qualité médiocre des illustrations
⬤ certains lecteurs ont l'impression que l'écriture est sèche ou ressemble à une thèse de doctorat
⬤ manque de lien entre le texte et les illustrations
⬤ frustrations quant à la compréhension de la production textile par l'auteur
⬤ désir d'un contexte historique et d'illustrations plus étoffés.
(basé sur 31 avis de lecteurs)
The Dress Diary: Secrets from a Victorian Woman's Wardrobe
*CHOIX DE LA RÉDACTION DU NEW YORK TIMES BOOK REVIEW*.
Un portrait révélateur et unique de la vie victorienne racontée à travers la découverte de l'album textile d'une femme.
En 1838, le jour de son mariage, une jeune femme reçoit un journal intime. Rassemblant des bouts de tissu provenant de divers vêtements - certains lui appartenant, d'autres donnés par sa famille et ses amis - elle a soigneusement annoté chacun d'entre eux, créant ainsi un témoignage unique de leur vie. Elle s'appelait Mme Anne Sykes.
Près de deux cents ans plus tard, le journal est tombé entre les mains de Kate Strasdin, historienne de la mode et conservatrice de musée. Forte de son expertise, Kate Strasdin a passé les six années suivantes à percer les secrets contenus dans les pages de l'album, ainsi que la vie des personnes qu'il contient. Ses découvertes sont remarquables. Pièce par pièce, elle retrace le parcours d'Anne, des usines du Lancashire au port de Singapour, avant de retracer son retour en Angleterre à la fin de sa vie. Les fragments de tissu deviennent des fenêtres sur la vie victorienne : les pirates à Bornéo, l'étiquette compliquée du deuil, les teintures toxiques, l'Empire britannique en plein essor, les émeutes sur les conditions de travail et le terrible coût humain de l'industrie du coton en Grande-Bretagne. Il s'agit d'un récit de vie qui célèbre les gens ordinaires : non pas les grands personnages des histoires écrites traditionnelles, mais les figures cachées, les participants à la vie de tous les jours. À travers l'évidence des gilets, des robes de bal et des tenues de deuil, Strasdin met à nu l'ensemble de l'expérience humaine dans le plus intime des médiums : les vêtements que nous choisissons de porter.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)