Note :
Dans l'ensemble, « The Devil Wears Kilts » a reçu des critiques positives pour ses personnages attachants, son intrigue romantique et son mélange divertissant d'éléments historiques écossais et anglais. Cependant, certains lecteurs ont critiqué la fin abrupte et le recours occasionnel à une formule narrative.
Avantages:Les lecteurs ont apprécié les personnages bien développés, en particulier l'alchimie entre Ronulf et Charlotte, un Highlander écossais fort et une Anglaise pleine d'entrain. Le contexte historique et l'humour ont ajouté de la profondeur au récit. Le style d'écriture a été salué pour son engagement, et de nombreuses critiques ont souligné que la romance était à la fois torride et sincère. Les amateurs de romance historique ont trouvé l'histoire charmante et exaltante, appréciant le mélange de comédie et de drame.
Inconvénients:Plusieurs critiques ont mentionné la fin abrupte, estimant qu'elle laissait trop de questions sans réponse et qu'il fallait lire le livre suivant pour en finir. Certains ont trouvé que des éléments de l'histoire étaient formulés ou oubliables et ont critiqué le caractère de l'héroïne, jugée parfois antipathique. En outre, quelques lecteurs ont noté l'utilisation d'un langage cru, ce qui a nui à leur appréciation du livre.
(basé sur 158 avis de lecteurs)
The Devil Wears Kilts
"Il est temps de tomber amoureux de Suzanne Enoch. --Lisa Kleypas.
Le prix de la passion... En mission pour sauver sa sœur en fuite de l'attrait des compliments fleuris et d'un lot inutile de scalawags vêtus de satin et déguisés par leurs titres ronflants, Ranulf MacLawry, marquis de Glengask, a fait irruption dans la société britannique comme une tempête à travers les Highlands écossais. Mais il est sur le point de découvrir que le satin a son charme, surtout lorsqu'il recouvre les courbes de Miss Lady Charlotte Hanover, dont la langue est aussi acérée que sa peau est douce...... is Pure PleasureLady Charlotte Hanover a eu sa dose d'hommes à la tête brûlée, après avoir perdu son fiancé dans un duel tout à fait inutile. Depuis quand les muscles l'emportent-ils sur les cerveaux ? Et pourtant, il y a quelque chose de solide et d'attirant dans le Highlander effronté qui est aussi dangereux dans la salle de bal que dans la bataille. Parfois, plus c'est grand, mieux c'est... dans "The Devil Wears Kilts".
"Un plaisir toujours très attendu. --Christina Dodd.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)