Note :
The Last Projector de David James Keaton est un roman complexe et ambitieux qui entremêle plusieurs récits de manière non conventionnelle et souvent chaotique. Les lecteurs le décrivent comme un voyage sauvage riche en références à la culture pop, en scénarios absurdes et en un style narratif unique qui remet en question les structures traditionnelles de l'histoire. Les avis sur le livre varient considérablement, suggérant qu'il pourrait polariser le public en raison de sa nature stimulante et de sa narration non conventionnelle.
Avantages:** Une structure narrative complexe et ambitieuse ** Riche en références à la culture pop et en humour ** Des personnages vivants et des dialogues captivants ** Des thèmes stimulants qui explorent la nature humaine ** Une expérience de lecture unique qui encourage un engagement profond ** Hilarant et divertissant, ce qui le rend agréable en dépit de sa complexité
Inconvénients:** Il est difficile à comprendre dans son intégralité ** Peut sembler long ou excessivement étendu ** Peut polariser les lecteurs en raison de son style abstrait ** Peut laisser les lecteurs confus ou perdus ** Ne convient pas à ceux qui préfèrent la narration traditionnelle
(basé sur 24 avis de lecteurs)
The Last Projector
Dans ce roman hystérique, rencontrez un ambulancier déséquilibré devenu réalisateur de films pornographiques, déraciné d'un fantasme des années 80 en constante évolution. Découvrez un crime qui remonte le temps jusqu'à une dissimulation de grande envergure à l'arrière d'une ambulance. Révéler une obsession maniaque du tatouage et comment elle conspire à ruiner l'intégrité d'un film et à corrompre l'identité elle-même. Levez le voile sur le mystère qui entoure trois générations de femmes et le secret qu'elles partagent. Et suivez deux terroristes amateurs, dont l'histoire d'amour improbable se précipite tête baissée vers l'apocalypse du drive-in.
« Je veux savoir où David James Keaton achète ses pantalons. Il doit y avoir une sorte de magasin spécialisé dans l'achat de pantalons suffisamment spacieux pour qu'il puisse y fourrer ses immenses couilles. Le Dernier Projecteur (plus de 500 pages) conserve la main sûre et la voix immense de quelqu'un qui a déjà entamé une longue et légendaire carrière. Et il s'agit de ses débuts. Ridiculement divertissant et bien rythmé, croisant les genres à certains moments avec un flair subtil que vous ne remarquerez même pas au début, c'est l'ouverture d'une nouvelle voix énorme ». -Todd Robinson, auteur de The Hard Bounce et rédacteur en chef de Thuglit
« Le livre le plus attendu de 2014. Bon sang, c'est le livre le plus attendu depuis que ce podcast existe. » -Booked.
« Imaginez le monde plein de vie de Harry Crews donnant un coup de tête à la marelle littéraire dense et rocambolesque de William Gaddis et vous êtes fermement ancré dans le pays de David James Keaton. Son palpitant premier roman, The Last Projector, est l'histoire bouillonnante et épique d'une Amérique merveilleusement détraquée ». -Patrick Wensink, auteur de Broken Piano for President
« David James Keaton est un génie monomaniaque qui assemble des mots dans la pièce la plus reculée de votre cerveau de serpent saturé de films, et Le dernier projecteur est son chef-d'œuvre. C'est fou, anarchique, et foutrement brillant. J'ai hâte de le relire ». -Benjamin Whitmer, auteur de Cry Father et coauteur de Satan Is Real : The Ballad of the Louvin Brothers, un choix de la critique du New York Times.
Cette chose que l'on appelle la « voix » que les auteurs sont censés avoir ? Les voix de Keaton sont légion. Ce 'Tap, tap, tap' que vous pouvez entendre dans ce livre ? Je ne l'ouvrirais pas sans un rapide 'Klaatu barada nikto' pour faire bonne mesure ». -Jedidiah Ayres, auteur de Peckerwood et parrain de la série de lectures Noir at the Bar.
« Tout simplement, David James Keaton est un génie tordu, et vous lisez son œuvre à vos risques et périls, au risque d'un effondrement neuronal ou moral... Les histoires de Keaton sont comme des cartes secrètes vers des marais meurtriers où les corps sont enterrés par les tueurs en série qui composent les fan-clubs de Keaton... Supposons que vous soyez un savant fou et que vous vouliez créer un écrivain monstrueux pour l'avenir : vous déterrez d'abord le cadavre de Kafka, vous en tirez de l'ADN, vous faites de même avec David Foster Wallace, puis vous ajoutez au mélange un peu de Stephen King et de Woody Allen. Ajoutez une pincée de Poe et de Robert Parker, agitez l'éprouvette avec vigueur et vous obtenez David James Keaton. Ses écrits sont aussi maladivement exubérants et gargantuesques que des dirigeables gothiques, des histoires à dormir debout de téléportation dans le mythe urbain et le mystère, la post-vérité, l'anti-réalité, ils brisent toutes les règles de la fiction ordinaire et du bon goût ». -Chuck Kinder, auteur de Honeymooners : A Cautionary Tale et Last Mountain Dancer
© Book1 Group - tous droits réservés.
Le contenu de ce site ne peut être copié ou utilisé, en tout ou en partie, sans l'autorisation écrite du propriétaire.
Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)