Note :
Le livre « Capitalism Calls Poetry Lazy » de Wyatt Welch est un recueil de poésie puissant et stimulant qui interpelle les lecteurs par son format peu orthodoxe et ses réflexions profondes sur la vie et la société. Si beaucoup louent sa beauté et sa profondeur émotionnelle, certains trouvent son style avant-gardiste difficile à appréhender.
Avantages:De nombreuses critiques soulignent la capacité du livre à susciter la réflexion et les émotions, l'excellente utilisation de la langue, la mise en forme unique et les réflexions profondes sur la vie, la société et les luttes personnelles. Le livre est décrit comme brillant, éclairant et incontournable, avec des thèmes qui résonnent profondément chez les lecteurs.
Inconvénients:Certains lecteurs ont trouvé le livre trop peu orthodoxe, avec des éléments difficiles tels que des strophes brisées, une ponctuation manquante et une lisibilité difficile. Quelques critiques ont mentionné que le style non conventionnel pouvait nuire à l'expérience globale, rendant certaines parties difficiles à comprendre.
(basé sur 15 avis de lecteurs)
Capitalism Calls Poetry Lazy
Welch s'engage aux confins des États-Unis dans ces poèmes biographiques sur son enlèvement, ses difficultés en tant qu'individu gay/trans et son alliance avec la sorcellerie. Parmi les poèmes instables et les juxtapositions, Welch recherche le corps poétique juste au-delà du corps physique : « Le fait que je sois mis au défi d'incarner ma propre nature, altérée par des forces extérieures à moi-même, de réaffirmer une paix, ma paix, qui a été salie au profit des hommes privilégiés, est une entreprise que je revisite et à laquelle je m'en veux quotidiennement.
Cet acte de retour à moi-même, en rejetant le monde, est sombre et constitue la source de mon pouvoir en tant que sorcière. Ces pratiques sont présentes dans toute ma poésie ». Comme le titre l'indique, Welch s'en prend également aux intentions que le capitalisme nourrit à l'égard de nous, les vivants.
« Pour que le capitalisme fonctionne, il nous apprend, à de nombreux niveaux, à nous déconnecter de notre empathie naturelle, des sans-abri, des pays que nous bombardons tranquillement, et des autres êtres qui partagent notre monde. Le récit de la paresse transforme la connexion en cruauté, et la poésie dénonce de telles fictions.
La poésie favorise notre empathie les uns envers les autres, y compris notre empathie envers les objets quotidiens. La poésie n'est pas paresseuse, elle ne se repose jamais.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)