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Early Buddhism as Philosophy of Existence: Freedom and Death
Le libéralisme philosophique est la vision dominante dans le monde d'aujourd'hui. Même ceux qui rejettent philosophiquement le libéralisme souscrivent à sa conception de la liberté, qui est une conception négative, commune au libéralisme, au libertarianisme et à l'anarchisme.
L'alternative est la reconnaissance de la nature, en profondeur, appliquée pleinement aux êtres humains. Le Bouddha en a fait une philosophie et l'a vécue. C'était une pratique.
Elle ramène la mort dans la vie.
L'opinion commune est que la mort est l'opposé de la vie. Pourtant, la mort fait partie de la vie, depuis le début.
C'est ce que l'on retrouve chez de nombreux grands écrivains, comme Dostoïevski, par exemple. Ses personnages trouvent une communion humaine dans la souffrance, malgré leurs différences. Les contradictions sont inhérentes à la vie, mais nous trouvons notre voie, pas une voie unique.
Cela ramène au réalisme, qui est la vérité. Elle a été présente dans les sociétés humaines tout au long de l'histoire. Il a été banni à cause d'une fausse vision de la vérité, liée à une fausse vision de la liberté.
Elle pourrait être reconnue comme une philosophie. Le Bouddha enseignait simplement.
Il n'y avait pas de dogme. Il ne leur a pas appris à le suivre, mais à être maîtres de leur propre salut. Si cette vision n'est pas reconnue comme une philosophie, comme elle devrait l'être, incluant la vérité, elle redeviendra une religion, plutôt qu'un mode de vie, un art de vivre.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)