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Avantages:Traduction accessible, bien présentée, informative, fortement recommandée par de nombreux utilisateurs.
Inconvénients:Certains exemplaires présentent des soulignements gênants dans le texte qui n'ont pas été signalés dans l'annonce.
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The Bahir
Le Bahir est l'un des plus anciens et des plus importants textes classiques de la Kabbale. Jusqu'à la publication du Zohar, le Bahir était la source primaire d'enseignements kabbalistiques la plus influente et la plus largement citée.
Le Bahir est cité dans tous les grands livres de Kabbale, le plus ancien étant le commentaire du Raavad sur le Sefer Yetzirah, et il est cité à de nombreuses reprises par Rabbi Moshe ben Nachman (Ramban) dans son commentaire sur la Torah. Il est également cité à de nombreuses reprises dans le Zohar. Il a été publié pour la première fois vers 1176 par l'école provençale des kabbalistes ; la première édition imprimée est parue à Amsterdam en 1651.
Le nom Bahir est dérivé du premier verset cité dans le texte (Job 37:21), "Et maintenant ils ne voient plus la lumière, elle est brillante (Bahir) dans les cieux".
Il est également appelé le "Midrash de Rabbi Nehuniah ben HaKana", en particulier par le Ramban. La raison en est peut-être que le nom de Rabbi Nehuniah figure au tout début du livre, mais la plupart des kabbalistes lui attribuent le Bahir, ainsi qu'à son école.
Certains le considèrent comme le plus ancien texte kabbalistique jamais écrit. Bien que le Bahir soit un livre relativement petit, quelque 12 000 mots en tout, il était très estimé par ceux qui en sondaient les mystères. Rabbi Juda Chayit, éminent kabbaliste du quinzième siècle, écrit : "Faites de ce livre une couronne pour votre tête".
Une grande partie du texte est très difficile à comprendre et Rabbi Moshe Cordevero (1522-1570), chef de l'école de Kabbale de Safed, dit : "Les mots de ce texte sont brillants (Bahir) et étincelants, mais leur brillance peut aveugler l'œil". L'un des concepts les plus importants révélés dans le Bahir est celui des dix Sefirot, et une analyse minutieuse de ces discussions permet de dégager une grande partie de ce que l'on trouvera dans les ouvrages kabbalistiques ultérieurs, ainsi que leur relation avec l'anthropomorphisme et la raison d'être des commandements. On y trouve également une discussion sur la réincarnation, ou Gilgul, une interprétation des lettres de l'alphabet hébreu, les trente-deux chemins de la sagesse, et le concept de Tzimtzum, le s.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)