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The Death Spiral
Poésie. "La spirale de la mort, qui représente le manège de l'aigle à tête blanche américain lorsqu'il plonge vers le sol, n'est pas seulement un poème de cet excellent recueil, mais une métaphore de l'état actuel du pays. Ces poèmes magnifiquement rendus demandent quand nous sortirons de notre "danse de mort, / et tomberons vers le haut, sous l'emprise du ciel". Bien que d'autres livres abordent des sujets tels que le changement climatique, le racisme et notre époque politique troublée, ce livre se distingue par sa précision lyrique, ses sauts imaginatifs et son imagerie saisissante. Sarah Giragosian est une poétesse vraiment douée" - Charlotte Pence.
THE DEATH SPIRAL nous plonge dans l'Anthropocène (une époque d'extinction massive et de changement climatique), tout en refusant d'adhérer à ce "fait". Au lieu de cela, la poète trouve un moyen non seulement de fusionner sa conscience, son être, son "je", avec ceux des autres absolus - le règne animal et l'amour - mais aussi de tracer un guide de terrain d'une exécution formelle éblouissante à partir de notre époque de terreur et de perte. Clairvoyant, résistant et courageux, Giragosian reconnaît "les muscles atrophiés de l'espoir" tout en suggérant une autre voie, une voie dans laquelle "la nature irrépressible" (ni cruelle ni morale) montre le chemin. Resplendissant de "l'extase du désastre", des histoires d'origine et de la "relation de sang entre le mammifère et la pierre", le poète déclare clairement son désir : "Déchirer". Et dans ce déchirement (qui rappelle un Dickinson déchaîné) et cette louange, nous avons droit à un "test de notre liberté", à un esprit libéré, à un récit autrement tragique de la mort contrebalancé par un chant glorieux.
Les poèmes féroces et magnifiques de Giragosian incarnent notre rôle en tant qu'unité de corps et d'esprit avec les autres peuples, les plantes et les animaux - vivants et éteints - et défendent un lien familial qui fait partie intégrante de la survie des espèces, y compris la nôtre : " c'est une tortue qui s'agite / sur un crochet en os, qui parle d'ailleurs / de son éloignement ". J'évoque le foyer, la famille...". Ces poèmes espèrent que nous ne nous retrouverons pas avec 'plus rien sur Terre à aimer ou à craindre', car ils invoquent la beauté qui nous entoure et qui est en nous" - April Ossmann.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)