Note :
Le livre suit le parcours de l'auteur qui, pendant un an, a tricoté le pull complexe « Mary Tudor » d'Alice Starmore. Bien qu'il donne un aperçu des défis du tricot et de la communauté du tricot, l'exécution a été critiquée pour son manque d'intérêt pour le tricot proprement dit et sa narration décousue. L'auteure se livre à diverses interviews et explore ses expériences, mais le style d'écriture incohérent et les digressions politiques ont rebuté certains lecteurs. Dans l'ensemble, ce livre est loué pour son humour et sa vision du monde du tricot, mais critiqué pour son manque de cohésion dans la narration, centrée sur le tricot lui-même.
Avantages:⬤ Style d'écriture engageant
⬤ humour
⬤ fournit des informations intéressantes sur la communauté des tricoteurs
⬤ explore l'histoire des modèles d'Alice Starmore
⬤ est compréhensible pour de nombreuses tricoteuses
⬤ aborde d'importantes techniques de tricot.
⬤ Récit décousu
⬤ concentration limitée sur le tricot proprement dit
⬤ digressions sur la politique
⬤ certains lecteurs ont trouvé qu'il manquait d'organisation
⬤ une quantité substantielle d'interviews que certains ont perçue comme du remplissage
⬤ pas assez d'éléments visuels compte tenu du sujet du tricot.
(basé sur 80 avis de lecteurs)
Sweater Quest: My Year of Knitting Dangerously
"Je tricote pour ne pas tuer les gens" - autocollant repéré au festival du mouton et de la laine de Rhinebeck.
Pour Adrienne Martini, comme pour d'innombrables autres personnes, le tricot est la clé de voûte de la santé mentale. Mère de deux enfants, Adrienne Martini voulait relever un défi qui lui donnerait l'impression de prendre les choses en main. Elle a donc décidé de confectionner le Saint Graal des pulls : son propre Mary Tudor, dont le motif d'une beauté ahurissante est si compliqué à tricoter que sa seule évocation peut faire taire une salle pleine de tricoteuses expérimentées. Créé par la créatrice recluse Alice Starmore, le Mary Tudor ne peut être trouvé que dans un livre rare et épuisé de motifs de style Fair Isle, Tudor Roses, et nécessite un fil discontinu et irremplaçable. Le pull, explique Martini, "est le Mont Everest de la tricoteuse, notre malédiction et notre compulsion. J'en veux un plus que je ne saurais le dire".
Elle a donc relevé le défi : un an, deux aiguilles et un nombre incalculable de tricots et de purls pour conquérir Mary Tudor tout en s'occupant de ses deux enfants, de ses deux chats, de ses deux emplois et (heureusement) de son mari - sans s'effilocher en cours de route. En cours de route, Adrienne enquête sur les origines complexes du modèle convoité, s'interroge sur la nature de la création artistique et détaille sa quête pour acheter des fournitures sur le marché noir du tricot. Alors qu'elle essaie de ne pas s'arracher les cheveux avec des rangées qui tournent mal, Martini reçoit les conseils de quelques tricoteuses, qui lui offrent une inspiration inestimable pour vaincre sa peur du Fair Isle. À la manière d'un Julie et Julia laineux, ce récit épique célèbre les joies profondes de la création - et de l'aspiration à des réalisations remarquables.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)