Note :
Les critiques reflètent une réception polarisée du livre « Prisons By Any Other Name ». Ses partisans louent ses arguments convaincants, son contenu bien documenté et son actualité dans le débat sur l'abolition des prisons et la réforme de la justice, tandis que ses détracteurs le jugent trop émotif, dépourvu de solutions réalisables et idéologiquement orienté contre les forces de l'ordre.
Avantages:⬤ Bien écrit et accessible
⬤ discussions qui donnent à réfléchir
⬤ recherches approfondies
⬤ met en évidence les échecs des réformes pénitentiaires actuelles
⬤ inclut des exemples réels qui illustrent les problèmes systémiques
⬤ opportun et pertinent pour les discussions sociales contemporaines sur la réforme de la justice
⬤ appelle à l'engagement de la communauté et à de nouvelles approches.
⬤ Perçu comme trop émotif ou hystérique
⬤ les critiques du système de justice pénale jugées irréalistes ou naïves
⬤ certains lecteurs ont trouvé qu'il manquait de solutions pratiques
⬤ accusé d'être anti-police et trop idéologique
⬤ certaines réponses indiquent qu'il ne reconnaît pas la nécessité de responsabiliser les criminels.
(basé sur 13 avis de lecteurs)
Prison by Any Other Name: The Harmful Consequences of Popular Reforms
Une mise en cause cruciale des alternatives à l'incarcération largement acceptées, qui montre comment nombre de ces nouvelles approches élargissent en fait le filet de la punition et de la surveillance.
Mais qu'est-ce que cela signifie - réellement - de célébrer des réformes qui transforment votre maison en prison ?
--Michelle Alexander, extrait de l'avant-propos
Surveillance électronique. Centres de traitement de la toxicomanie fermés. L'assignation à résidence. Traitement psychiatrique obligatoire. Surveillance fondée sur des données. Prolongation de la période de probation. Ce sont là quelques-unes des solutions clés présentées comme des substituts rentables aux prisons. Mais nombre de ces soi-disant réformes élargissent en fait le filet, tissant de nouveaux liens de punition et de contrôle, et plaçant sous le contrôle physique de l'État de nouvelles populations qui, autrement, n'auraient pas été soumises à l'emprisonnement.
Alors que l'opinion publique a commencé à s'opposer à l'incarcération de masse, des personnalités politiques des deux côtés de l'échiquier font pression en faveur d'une réforme. Mais, bien qu'elles soient présentées comme des mesures visant à lutter contre les taux élevés d'incarcération, nombre de ces mesures transforment nos maisons et nos communautés en prisons.
Dans Prison by Any Other Name, les journalistes activistes Maya Schenwar et Victoria Law révèlent la manière dont le récit de la réforme, plus doux et plus gentil, peut masquer les programmes de contrôle social et nous pousser à nous interroger sur la manière dont nous reproduisons le statu quo lorsque nous cherchons à changer les choses. Un avant-propos de Michelle Alexander situe le livre dans le contexte des conversations sur la réforme de la justice pénale. Enfin, le livre propose une vision plus audacieuse des pratiques judiciaires réellement alternatives.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)