Note :
Ce livre propose une exploration perspicace du cinéma d'horreur soviétique tardif et s'adresse aux amateurs d'horreur et à ceux qui cherchent à élargir leur compréhension du genre.
Avantages:⬤ Bien écrit, informatif et bien documenté
⬤ démontre la passion de l'auteur pour le sujet
⬤ recommandé aux fans d'horreur
⬤ offre une perspective unique sur un aspect moins connu des films d'horreur.
Certains lecteurs peuvent ne pas être familiers avec la scène horrifique soviétique tardive, ce qui pourrait limiter leur appréciation du matériel.
(basé sur 4 avis de lecteurs)
Fear Before the Fall: Horror Films in the Late Soviet Union
L'aliénation, les tensions générationnelles, le nationalisme rampant et l'omniprésence du danger atomique sont autant de sujets qui ont hanté les citoyens de l'Union soviétique tardive, et ces craintes se reflètent dans les films censés représenter leur genre d'horreur. À la fin des années 1970 et tout au long des années 1980, la production de films d'horreur par des cinéastes indépendants et par Hollywood a explosé.
C'était une période d'intenses conflits liés à la guerre froide et de résurgence des idéaux conservateurs. Il n'est pas difficile d'imaginer que l'essor de l'horreur est allé de pair avec un monde de plus en plus effrayant et aliéné, et que l'horreur reflétait ces tensions sous la forme d'holocaustes nucléaires, de pollution par les déchets toxiques, d'envahisseurs clownesques extraterrestres et d'invités morts-vivants.
Tout le monde était en danger, surtout les adolescents, car leur présent et leur avenir restaient très incertains. Si nous pouvons admettre que de tels sentiments ont animé les spectateurs américains à l'ère de Reagan et du néolibéralisme, qu'en est-il du socialisme tardif ? Comment les cinéastes ont-ils représenté les craintes de la société soviétique ?
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)