The Nature of Cities: Culture, Landscape, and Urban Space
Ce volume explore l'intersection des villes et de l'environnement naturel dans un éventail de lieux urbains, dont New York, Londres, la Nouvelle-Orléans, Venise et Seattle, sur une large période allant de la fin de la Renaissance à aujourd'hui.
Les essais étudient le contexte écologique des révoltes - réelles ou imaginaires - des squatters et des esclaves urbains ; les épidémies urbaines et leurs conséquences culturelles et politiques ; l'impact social et économique des catastrophes naturelles sur les lieux urbains ; et l'histoire environnementale de l'essor et de la chute des villes. The Nature of Cities rassemble les travaux de chercheurs qui utilisent de nouvelles méthodes de recherche en histoire urbaine et environnementale.
Les auteurs de cet ouvrage, parmi lesquels Karl Appuhn, Joanna Dyl, Ari Kelman, Matthew Klingle, Emmanuel Kreike, Sara Pritchard, Peter Thorsheim et Ellen Stroud, représentent une nouvelle génération d'universitaires spécialisés dans l'histoire de l'environnement urbain. Leurs travaux novateurs et interdisciplinaires s'appuient sur la race, la classe, le consumérisme, les études paysagères et la culture pour aborder des questions telles que les conflits raciaux et de classe dans les espaces publics urbains, la construction culturelle et le contrôle des espaces publics par les pouvoirs économiques et gouvernementaux, ainsi que l'idéalisation des villes comme étant à l'écart de la nature. Andrew C.
Isenberg est professeur associé d'histoire à l'université de Temple. Il est l'auteur de The Destruction of the Bison : An Environmental History, 1750-1920 (New York, 2000), et de Mining California : An Ecological History (New York, 2005).
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)