Note :
Le livre « Music in a Foreign Language » d'Andrew Crumey est réputé pour sa narration complexe, à plusieurs niveaux, et pour sa manipulation complexe de la langue. Il entremêle plusieurs intrigues et personnages dans une structure unique que certains lecteurs trouvent captivante, tandis que d'autres se heurtent à sa complexité. Dans l'ensemble, il est loué pour sa créativité, sa profondeur et sa qualité atmosphérique, même s'il n'est pas universellement accessible.
Avantages:⬤ Une structure narrative complexe qui attire les lecteurs.
⬤ Une narration captivante et atmosphérique avec des personnages mémorables.
⬤ La manipulation de la langue est saluée comme un chef-d'œuvre.
⬤ L'auteur est considéré comme une voix prometteuse dans la littérature contemporaine, offrant une perspective et un style uniques.
⬤ Certains lecteurs le trouvent intellectuellement stimulant et agréable, en particulier ceux qui s'intéressent à la critique littéraire.
⬤ La complexité de la narration peut être déroutante ou difficile pour certains lecteurs.
⬤ Les événements et l'évolution des personnages ne sont pas tous clairement définis, ce qui crée un sentiment d'ambiguïté.
⬤ Peut nécessiter un intérêt particulier pour les aspects littéraires afin de l'apprécier pleinement.
⬤ Certains lecteurs ont trouvé que ce livre n'était pas aussi digeste que les autres œuvres de Crumey.
(basé sur 6 avis de lecteurs)
Music, in a Foreign Language
"Deux personnes se rencontrent dans un train : le jeune homme imagine un roman, et imagine la vie de la jeune femme. Un serveur se précipite à la recherche d'une fille qu'il a aimée et qui n'a pas payé sa note, pour trouver un journal intime dans lequel leur flirt fictif est anatomisé. Mais l'histoire commence en fait avec un homme qui pisse après avoir fait l'amour à sa femme. Il a l'intuition d'un roman, mais les pensées ne cessent de s'immiscer, avec toutes les possibilités de séduction qu'elles recèlent. L'homme dans le train vit dans une Angleterre qui a décidé, avec la discrétion et l'insouciance qui la caractérisent, qu'elle ne voulait plus vivre sous un régime totalitaire qui durait depuis 40 ans. Je dis totalitaire, mais je pense plutôt au Brésil, un monde où règne une tyrannie terriblement géniale et où les autorités s'efforcent de se montrer conciliantes. Duncan nous raconte une autre histoire, née du souvenir de la voiture de son père dévalant une pente. Comme dans tout bon roman postmoderniste, les digressions sans fin sont plus apaisantes que dérangeantes".
Murrough O'Brien dans The Independent on Sunday.
La structure étonnamment inventive de ce roman permet à l'auteur d'explorer les similitudes entre les fictions et l'histoire. À tout moment, il existe une infinité de possibilités quant à la façon dont l'histoire, une vie ou l'histoire du monde pourrait progresser. L'ensemble de l'œuvre est agréablement imprévisible et pose des questions profondes sur les thèmes de la motivation, du choix et de la moralité".
Le Sunday Times.
"Un écrivain plus intéressé par l'héritage de Perec et de Kundera que par celui d'Amis et de Drabble. Comme la plupart des romans britanniques les plus intéressants du moment, Music, in a Foreign Language est publié en livre de poche par une petite maison d'édition indépendante, ce qui laisse espérer qu'une contre-attaque timide, mais attendue depuis longtemps, est en train d'être lancée contre le conservatisme indélébile du roman anglais moderne. Avec ce roman, il a entamé son propre combat contre la médiocrité culturelle et s'est présenté, comme son héros, comme "un réfugié de la grisaille. Des pois en conserve et de la pluie".
Jonathan Coe dans The Guardian.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)