Note :
Il s'agit d'un recueil de neuf nouvelles interdépendantes, réparties en trois trios, qui abordent les thèmes de la maternité, des relations et de l'expérience des femmes. L'écriture est saluée pour son style exquis et sa profondeur émotionnelle.
Avantages:Les lecteurs ont trouvé que l'écriture était magnifiquement conçue et attrayante, avec une structure unique qui met en valeur la narration. Les thèmes de la maternité et des relations personnelles résonnent fortement, et les décors sont décrits de manière vivante, immergeant le lecteur dans le récit.
Inconvénients:Certains lecteurs ont exprimé le souhait d'avoir plus de contenu, estimant que même si chaque histoire et chaque trio sont complets, ils ont envie d'en savoir plus sur les personnages et sur la beauté de l'écriture.
(basé sur 4 avis de lecteurs)
The Mother Who Stayed: Stories
Dans neuf histoires d'une perceptive saisissante, situées à des kilomètres et des décennies d'intervalle, Laura Furman explore les vies complexes et insaisissables des mères et des filles - et des femmes qui aspirent à quelqu'un qui les nourrisse.
Voici Rachel, une jeune fille qui cherche désespérément l'attention débridée de sa mère, sachant qu'elle devra bientôt affronter le monde seule ; Marian, une célèbre romancière qui trahit la seule personne prête à s'occuper d'elle alors qu'elle est mourante - sa « fille » non réclamée ; et Dinah, une veuve sans enfant encouragée par les journaux intimes centenaires et abandonnés de Mary Ann, une mère de onze enfants. The Mother Who Stayed est un hommage au lien intemporel et primitif entre une mère et son enfant et un témoignage que les relations que nous ne pouvons pas définir peuvent être tout aussi poignantes, mémorables et inspirantes que celles qui sont déterminées par le sang.
Tendres et perspicaces, les histoires de Furman affrontent aussi courageusement les réalités plus sombres de la séparation et du regret, de la mort et de l'infidélité, voire du meurtre. Ses personnages imaginés avec vivacité et sa prose ciselée comblent le fossé entre les générations de femmes qui partagent leur sagesse presque en chœur : Même si nos vies se terminent, nous devons chérir le caractère sacré de chaque jour et dire, comme Mary Ann il y a bien longtemps, « J'ai fait ce que j'ai pu ».
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)