Note :
Ce livre est un recueil de nouvelles de Frederick Barthelme qui suscite des sentiments mitigés chez les lecteurs. Certains apprécient la profondeur, l'humour et l'habileté avec lesquels il dépeint la vie ordinaire, tandis que d'autres critiquent les histoires pour leur caractère oubliable ou leur manque de substance. Parmi les points forts, citons les personnages attachants et les perspectives uniques sur des situations banales, même si certains estiment que les récits n'aboutissent à rien de significatif.
Avantages:Les lecteurs félicitent Barthelme pour sa maîtrise de la narration, son humour et sa capacité à transformer la vie quotidienne en moments de grâce. Son écriture saisit les complexités des relations humaines avec authenticité, et nombreux sont ceux qui trouvent les histoires racontables et perspicaces. Son style est apprécié pour sa maîtrise et sa sobriété, avec des observations intelligentes qui résonnent.
Inconvénients:Les critiques affirment que les histoires peuvent sembler inutiles ou trop simplistes, les qualifiant d'« histoires sur rien » ou d'inintéressantes. Certaines critiques mentionnent des personnages oubliables et un manque de développement de l'intrigue. Certains lecteurs perçoivent la collection comme dérivée ou imitant d'autres auteurs, mettant en doute l'originalité et la profondeur des récits.
(basé sur 12 avis de lecteurs)
The Law of Averages: New and Selected Stories
Il y a vingt ans, Frederick Barthelme a commencé à publier des histoires qui bouleversaient les attentes des lecteurs.
Dans The New Yorker, Esquire, GQ et ailleurs, il a publié une histoire après l'autre qui confondait les hypothèses littéraires dominantes, traitant nos vies très ordinaires avec un nouveau type d'attention et d'imagination attentives et aimantes. Il a écrit des histoires intimes, drôles, étranges, détaillées, à mourir de rire, sur des relations qui ont failli se produire et d'autres qui ont failli ne pas se produire, sur la façon dont nous nous regardons les uns les autres lorsque nous pensons des choses que nous ne pouvons pas nous résoudre à dire.
Avant qu'il n'y ait des fainéants, des enfants dans les parkings ou des histoires qui prennent le quotidien au sérieux, il y avait ces histoires prémonitoires de Frederick Barthelme. Il a adopté une position post-ironique avant que la post-ironie n'ait un nom. Il a emmené la fiction là où peu de gens étaient prêts à aller, a pris pour sujet les petites histoires d'amour, les peurs privées, l'éloignement des banlieues, l'angoisse au bureau, l'isolement culturel, les humiliations apparemment insignifiantes et le surplus croissant d'informations (CNN est un roman sociologique, a-t-il fait remarquer un jour).
Il a écrit - et continue d'écrire - avec une précision chirurgicale qui étonne et ravit à la fois les lecteurs et les critiques. S'il est arrivé à la fête de la nouvelle littérature un peu plus tôt que les autres invités, il n'est pas parti trop tôt, et il est donc bien représenté dans La loi des moyennes, avec les anciennes et les nouvelles histoires côte à côte, prêtes à renoncer à leurs plaisirs abondants.
© Book1 Group - tous droits réservés.
Le contenu de ce site ne peut être copié ou utilisé, en tout ou en partie, sans l'autorisation écrite du propriétaire.
Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)