Note :
Le livre « The Rebel League » d'Ed Willes présente une histoire captivante et complète de l'Association mondiale de hockey (AMH), en soulignant son impact sur le hockey professionnel et ses personnages hauts en couleur. Si de nombreux lecteurs l'ont trouvé divertissant et instructif, certains ont noté des problèmes de clarté d'écriture et d'organisation.
Avantages:⬤ Bien écrit et divertissant
⬤ informatif avec une nouvelle perspective sur une époque négligée de l'histoire du hockey
⬤ comprend des anecdotes personnelles et des histoires humoristiques
⬤ fait des liens avec des joueurs et des équipes célèbres
⬤ engageant pour les fans de hockey et les amateurs de sport en général
⬤ lecture rapide
⬤ évoque la nostalgie et l'appréciation du sport.
⬤ Structure déroutante avec de nombreux noms qui peuvent submerger certains lecteurs
⬤ manque de couverture complète de toutes les équipes et de tous les joueurs
⬤ quelques problèmes d'édition et de relecture
⬤ peut ne pas plaire à ceux qui ne sont pas familiers avec le hockey ou la culture canadienne
⬤ perd de l'élan après le premier chapitre.
(basé sur 87 avis de lecteurs)
The Rebel League: The Short and Unruly Life of the World Hockey Association
Les sept années les plus folles de l'histoire du hockey.
La Ligue rebelle célèbre le bon, le mauvais et le laid de la légendaire WHA. Il est rempli d'anecdotes hilarantes, de tractations en coulisses et de hockey tout simplement formidable. Il raconte l'étonnante signature de Bobby Hull pour un million de dollars, qui a contribué à lancer la ligue, et comment il a perdu son postiche lors d'une bagarre sur la glace. Il explique comment une équipe de Bulls de Birmingham nus s'est retrouvée dans le hall d'une arène, prête à se bagarrer. Comment les Oilers ont dû faire sortir clandestinement l'attaquant fugitif Frankie "Seldom" Beaton de leur vestiaire dans un sac d'équipement. Et comment Mark Howe oubliait parfois de crier "Papa" lorsqu'il demandait à son coéquipier, le père Gordie, de faire une passe. Il y a le tournage de Slap Shot, ce classique du cinéma moderne, et la création de la ligne virtuose de Hull, Anders Hedberg et Ulf Nilsson.
Au départ, il s'agissait d'un projet lucratif de deux avocats californiens. Ils ne connaissaient pas grand-chose au hockey, mais ils savaient comment faire bouger les choses. La nouvelle WHA a introduit dans le monde 27 nouvelles franchises de hockey, une série de chèques sans provision, de procès houleux et d'équipes dissoutes. Elle a également introduit les fêlés, les goons et les fous qui constituent l'héritage bizarre de la ligue.
Mais la ligue, qui a connu des succès et des échecs, était bien plus qu'un cirque itinérant de bizarreries et de merveilles. Elle a été l'avant-garde qui a fait entrer le hockey dans l'ère moderne. Elle a mis fin au monopole de la NHL, a libéré les joueurs de la clause de réserve, a introduit la sélection des 18 ans, a déplacé le jeu dans la Sun Belt et a fait jouer des joueurs européens sur la glace en nombre inimaginable auparavant.
La ligue rebelle de la WHA a permis à des stars de faire leurs débuts dans la grande ligue et à d'autres d'entamer leur chant du cygne, et a fourni un carburant à haute teneur en essence pour des départs spectaculaires. Au terme de ses sept années d'existence, il ne restait plus que six équipes, dont quatre - les Jets de Winnipeg, les Nordiques de Québec, les Oilers d'Edmonton et les Whalers de Hartford - allaient se retrouver dans la LNH élargie.
Extrait de l'édition à couverture rigide.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)