Note :
Le livre « La lampe d'Aladin » de John Freely a reçu des critiques mitigées, soulignant ses points forts en matière d'érudition et de perspectives historiques, tandis que les critiques se concentrent sur sa présentation aride et son manque de narration attrayante.
Avantages:⬤ Facile, divertissant, agréable et éducatif ; une lecture à rythme lent que beaucoup veulent savourer.
⬤ Met en valeur la profonde érudition de Freely et ses connaissances approfondies sur le sujet.
⬤ Constitue un outil de référence précieux pour ceux qui s'intéressent à l'histoire et à la transmission du savoir classique dans le monde islamique.
⬤ Reconnu pour sa profondeur de vue et ses informations bien documentées.
⬤ Apprécié par ceux qui recherchent des récits historiques approfondis.
⬤ De nombreux critiques l'ont trouvé ennuyeux, fastidieux et sans engagement narratif, le qualifiant de « tome sec et poussiéreux ».
⬤ L'approche du livre est souvent décrite comme une simple liste chronologique d'érudits, sans exploration plus approfondie ni contexte.
⬤ Certains ont estimé que les chapitres étaient rédigés de manière indépendante et mal édités, et qu'ils manquaient d'une vision cohérente.
⬤ Les lecteurs ont exprimé leur déception face à l'absence de commentaires personnels de l'auteur, au profit d'une collection de noms et d'événements.
⬤ Certains ont indiqué que l'ouvrage ressemblait davantage à un glossaire qu'à un récit, ce qui a rendu la lecture pénible.
(basé sur 16 avis de lecteurs)
Aladdin's Lamp: How Greek Science Came to Europe Through the Islamic World
La lampe d'Aladin est l'histoire fascinante des débuts de la philosophie et de la science grecques au sixième siècle avant J.-C.
et, au cours du millénaire suivant, de leur propagation dans le monde gréco-romain, produisant les découvertes et théories remarquables de Thalès, Pythagore, Hippocrate, Platon, Aristote, Euclide, Archimède, Galien, Ptolémée et de bien d'autres encore. John Freely explique comment, alors que l'âge des ténèbres enveloppait l'Europe, les érudits de la Bagdad médiévale ont traduit les œuvres de ces penseurs grecs en arabe, diffusant leurs idées dans le monde islamique, de l'Asie centrale à l'Espagne.
De nombreux scientifiques musulmans, notamment Avicenne, Alhazen et Averro, ont ajouté leurs propres interprétations à la philosophie et à la science dont ils avaient hérité. Freely poursuit en montrant comment, à partir du XIIe siècle, ces textes d'érudits islamiques ont ensuite été traduits de l'arabe au latin, déclenchant l'émergence de la science moderne à l'aube de la Renaissance, qui a culminé avec la révolution scientifique du XVIIe siècle.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)