Note :
Les critiques de « The Blade Itself » illustrent un mélange complexe d'admiration et de critique, notamment en ce qui concerne son récit axé sur les personnages et situé dans un monde fantastique et sombre. Les critiques soulignent la richesse des personnages et un style d'écriture unique, tout en notant le rythme lent du livre et l'absence d'une intrigue autonome, puisqu'il sert principalement d'introduction à l'arc narratif plus vaste de la trilogie.
Avantages:⬤ Un développement et une profondeur des personnages forts, avec des individus uniques et moralement ambigus qui évoquent une gamme d'émotions.
⬤ Un style d'écriture captivant et immersif qui allie l'esprit et l'humour à des thèmes plus sombres.
⬤ Une construction du monde bien conçue qui évite les clichés de la fantasy.
⬤ Une narration complexe qui récompense les lecteurs patients et offre des rebondissements inattendus.
⬤ Un bon rythme de narration axé sur les personnages, offrant de riches perspectives.
⬤ Un rythme lent et l'absence d'une intrigue ou d'une résolution claire dans ce premier épisode, ce qui a donné lieu à des critiques sur l'impression de « manque de direction ».
⬤ Une surabondance de personnages qui peut donner l'impression que l'histoire est encombrée et écrasante par moments.
⬤ Un niveau élevé de violence graphique et des jurons fréquents qui peuvent ne pas plaire à tous les lecteurs.
⬤ Certains personnages peuvent sembler unidimensionnels ou antipathiques, ce qui entraîne un décalage avec l'histoire.
⬤ L'histoire peut sembler décousue et ressembler à une préparation pour la suite, manquant d'enjeux ou de résolutions immédiates.
(basé sur 2152 avis de lecteurs)
The Blade Itself
Le premier roman de la Trilogie de la Première Loi et le premier roman de fantasy de Joe Abercrombie, best-seller du New York Times.
Logen Ninefingers, infâme barbare, n'a plus de chance. Pris dans une querelle de trop, il est sur le point de devenir un barbare mort - ne laissant derrière lui que de mauvaises chansons, des amis morts, et beaucoup d'ennemis heureux.
Noble, officier fringant et parangon de l'égoïsme, le capitaine Jezal dan Luthar n'a rien de plus dangereux à l'esprit que de plumer ses amis aux cartes et de rêver de gloire dans le cercle d'escrime. Mais la guerre se prépare, et sur les champs de bataille du Nord glacé, on se bat selon des règles bien plus sanglantes.
L'inquisiteur Glokta, infirme devenu tortionnaire, n'aimerait rien de mieux que de voir Jezal revenir à la maison dans une boîte. Mais Glokta déteste tout le monde : éliminer la trahison de l'Union, confession par confession, laisse peu de place à l'amitié. Sa dernière piste de cadavres pourrait bien le mener jusqu'au cœur pourri du gouvernement, s'il parvient à rester en vie assez longtemps pour la suivre.
C'est alors qu'entre en scène le magicien Bayaz. Vieil homme chauve au tempérament terrible et à l'assistant pathétique, il pourrait être le premier des mages, il pourrait être un imposteur spectaculaire, mais quoi qu'il en soit, il est sur le point de rendre la vie de Logen, Jezal et Glokta beaucoup plus difficile.
Des conspirations meurtrières remontent à la surface, de vieux comptes sont prêts à être réglés, et la frontière entre le héros et le méchant est suffisamment nette pour faire couler le sang.
Imprévisible, captivant, méchamment drôle et peuplé de personnages inoubliables, The Blade Itself est un roman noir fantastique qui ne manque pas de piquant.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)