Note :
Les commentaires des utilisateurs sur « The Joy of Killing » sont partagés, beaucoup louant la qualité de l'écriture et la complexité de la narration, tandis que d'autres critiquent le rythme et les éléments thématiques, les jugeant trop denses ou prétentieux. Alors que certains lecteurs trouvent le livre captivant et sa prose magnifique, d'autres le considèrent comme déroutant ou aliénant.
Avantages:⬤ Une excellente qualité d'écriture, décrite comme « nette et propre », sans aucun cliché.
⬤ Une narration captivante qui attire les lecteurs et les maintient engagés.
⬤ Des thèmes complexes et une profondeur psychologique.
⬤ Une beauté obsédante et des observations sur la vie qui donnent à réfléchir.
⬤ Une fin surprenante et satisfaisante pour ceux qui apprécient la littérature à rythme lent.
⬤ La lenteur du rythme et le début traînant rendent difficile l'engagement de certains lecteurs.
⬤ La structure narrative peut sembler alambiquée et trop compliquée.
⬤ Certains lecteurs la trouvent prétentieuse et la considèrent comme une sorte de cours magistral fastidieux.
⬤ L'histoire manque de crédibilité et de réalisme, en particulier dans les moments clés.
⬤ Une fin décevante qui a laissé certains lecteurs insatisfaits.
(basé sur 31 avis de lecteurs)
The Joy of Killing
Dans ses ouvrages classiques sur le crime authentique, Harry MacLean a examiné le côté sombre de l'Amérique et sa fascination pour la violence. Dans La joie de tuer, il s'appuie sur ses connaissances spécialisées pour créer un thriller littéraire captivant - une combinaison passionnante d'histoire d'amour, de mystère, de suspense psychologique et de méditation sur la nature humaine et les origines de la violence.
Ce rêve fiévreux commence par une nuit d'automne orageuse dans une maison au bord d'un lac dans les forêts du Minnesota, où l'on nous présente un professeur d'université qui, quelques années auparavant, avait écrit un roman dans lequel il justifiait un meurtre horrible sur le campus par la théorie nihiliste selon laquelle il n'y a pas de bien ou de mal, pas de centre moral à l'activité de l'homme. L'écrivain retourne à la maison du lac où il a passé les étés de son enfance et s'enferme dans le grenier, avec l'intention d'écrire la dernière histoire de sa vie. Les moments clés de son passé tournent en boucle dans son esprit : son enfance dans une petite ville de l'Iowa, où lui et son meilleur ami se sont liés d'amitié avec un vagabond local ; son enfance sur le lac où, un été, un garçon du coin s'est noyé dans une tempête ; et la fixation centrale de sa rencontre érotique avec une fille dans un train en partance pour Chicago alors qu'il n'avait que quinze ans. Tous ces fils s'entremêlent tandis que l'écrivain tente de reconstituer la multitude de secrets et d'actes de violence qui composent une vie humaine.
Rappelant le travail du maître du roman noir Derek Raymond et The Sea de John Banville avec une touche de David Lynch, The Joy of Killing, avec son langage obsédant et ses images vivantes, est à la fois un regard fascinant sur l'état de fugue de l'esprit d'un homme et un regard philosophique brûlant sur la violence et son impact sur notre condition humaine. Avec sa structure élégante, ses multiples intrigues et son suspense à couper le souffle, ce roman est le tour de force de l'un des plus grands auteurs américains de "true crime".
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)