Note :
Les mémoires de Judy Temes, « Girl Left Behind », décrivent son expérience d'enfant séparée de sa famille pendant le régime totalitaire en Hongrie à la fin des années 1960 et au début des années 1970. Le livre est présenté à travers la perspective innocente et enfantine de Juditka, âgée de cinq ans, reflétant sa confusion, son désir et sa résilience. Le récit retrace le parcours émotionnel d'une jeune fille qui doit vivre avec sa grand-mère tout en étant confrontée à la complexité des choix de sa famille, mettant en scène l'amour, la douleur et l'espoir dans une période difficile.
Avantages:⬤ Bien écrit et évocateur, il offre un récit profondément personnel et émotionnel
⬤ le point de vue de l'enfant offre une vision unique des événements historiques
⬤ les thèmes forts de l'amour, de la résilience et des liens familiaux
⬤ de nombreux lecteurs l'ont trouvé impossible à lâcher, le décrivant comme immersif et captivant
⬤ loué pour son langage lyrique et ses moments poignants.
⬤ Certains lecteurs peuvent trouver le sujet émotionnellement difficile
⬤ l'accent mis sur le point de vue d'un enfant peut laisser certains détails historiques sous-explorés
⬤ quelques critiques ont noté un désir d'exploration plus poussée des thèmes au-delà de la narration personnelle.
(basé sur 34 avis de lecteurs)
Girl Left Behind
À l'âge de cinq ans, Judy Temes vivait avec ses parents et son frère dans une petite ville près de la frontière sud de la Hongrie. Contrairement à la plupart des autres familles, la sienne bénéficiait d'un certain confort : un appartement spacieux, une télévision et même une maison de vacances. Que peut-on vouloir de plus ? Mais pour son père, médecin et survivant de l'Holocauste, vivre parmi les gens qui ont assisté à la mort de sa famille dans des wagons à bestiaux était devenu insoutenable.
Un soir de l'été 1969, la famille embarque dans la voiture pour ce qui devait être des vacances à Vienne. Mais ce n'était pas des vacances. Ils fuyaient le régime totalitaire hongrois en utilisant des visas touristiques qui leur permettaient d'entrer dans un pays occidental. Ces visas ont toutefois un prix élevé. Il fallait laisser un enfant au pays. C'était le moyen pour le gouvernement de s'assurer que les citoyens qui quittaient le pays reviendraient.
L'enfant oublié était "Juditka", qui allait vivre avec sa grand-mère dans un minuscule village hongrois au bord d'un lac. Quand, le cas échéant, reverra-t-elle sa famille ? Personne ne le sait.
© Book1 Group - tous droits réservés.
Le contenu de ce site ne peut être copié ou utilisé, en tout ou en partie, sans l'autorisation écrite du propriétaire.
Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)