Note :
Le recueil de nouvelles « The Female of the Species » de Joyce Carol Oates explore les aspects les plus sombres de la féminité à travers des récits psychologiques glaçants qui abordent les thèmes de l'abus, de la violence et des motivations complexes des femmes. Si certains lecteurs ont salué le développement saisissant des personnages et les thèmes obsédants, d'autres ont critiqué l'écriture, la jugeant peu agréable et manquant de profondeur.
Avantages:Les histoires présentent un développement incroyable des personnages et des récits glaçants et pleins de suspense qui plongent dans les aspects les plus sombres de la psychologie féminine. De nombreux lecteurs ont trouvé la prose attrayante, avec des descriptions vivantes et une capacité à créer un sentiment de tension et d'effroi. L'utilisation par Oates d'un langage simple a été appréciée dans certains récits, les rendant accessibles tout en étant percutants.
Inconvénients:Plusieurs lecteurs ont trouvé la collection décevante, citant des histoires peu impressionnantes qui semblaient répétitives ou manquaient de profondeur. Les critiques portaient notamment sur la violence gratuite, la méchanceté et la perte de l'exploration nuancée des motivations humaines qui caractérisaient les œuvres précédentes d'Oates. Certains considèrent que les scénarios sont sombres et les thèmes excessivement négatifs.
(basé sur 15 avis de lecteurs)
The Female of the Species: Tales of Mystery and Suspense
Dans So Help Me God, une jeune femme est seule à la maison lorsque le téléphone sonne. La voix étrange qui flirte avec elle à l'autre bout du fil est-elle celle de son mari jaloux qui lui tend un piège, ou celle d'un inconnu qui en sait beaucoup trop sur elle ? Dans Madison at Guignol, une fashionista malheureuse découvre une porte secrète à l'intérieur de son magasin de vêtements préféré et insiste pour que le personnel la laisse entrer. Mais même son imagination enfiévrée ne peut anticiper l'horreur qu'ils lui ont cachée. Dans ces récits saisissants et troublants, les femmes sont confrontées au mal qui les entoure et surprises par le mal qu'elles trouvent en elles-mêmes.
Avec une perspicacité diabolique, Joyce Carol Oates démontre pourquoi les femelles de l'espèce, qu'il s'agisse de fillettes de six ans, d'épouses apparemment dévouées ou de mères vieillissantes, sont par nature plus mortelles que les mâles.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)