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Autonomous Knowledge: Radical Enhancement, Autonomy, and the Future of Knowing
Une conclusion centrale développée et défendue tout au long de l'ouvrage est que l'autonomie épistémique est nécessaire à la connaissance (à la fois la connaissance-que et la connaissance-comment) et ce, d'une manière que les épistémologues n'ont pas encore pleinement appréciée. Le livre est divisé en cinq chapitres.
Le chapitre 1 motive (à l'aide d'une série de rebondissements sur le cas TrueTemp de Lehrer) l'affirmation selon laquelle la connaissance propositionnelle nécessite une croyance autonome. Les chapitres 2 et 3 développent cette proposition de deux manières, en défendant une forme spécifique d'externalisme sensible à l'histoire en ce qui concerne la connaissance propositionnelle - la croyance autonome (chapitre 2) et en montrant comment l'idée que la connaissance nécessite une croyance autonome - comprise selon les lignes externalistes proposées - correspond à une classe entièrement nouvelle de défausseurs de la connaissance (chapitre 3).
Le chapitre 4 étend la proposition au savoir-faire et à l'amélioration des performances (à la fois intellectualiste et anti-intellectualiste), d'une manière qui combine les idées de l'épistémologie de la vertu avec la recherche sur la liberté, la responsabilité et la manipulation. Le chapitre 5 conclut en donnant une nouvelle tournure au débat sur la valeur de la connaissance, en justifiant la valeur de la connaissance épistémiquement autonome par rapport à celle qui ne l'est pas, y compris la croyance vraie justifiée (simplement) hétéronome mais par ailleurs épistémiquement irréprochable.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)