Note :
Les lecteurs trouvent le livre attachant et émouvant, appréciant son surréalisme et le style d'écriture de l'auteur. Le récit est captivant, ce qui incite les lecteurs à le terminer rapidement. Cependant, certains pourraient être déstabilisés par sa conclusion ouverte.
Avantages:⬤ Captivant et émouvant
⬤ style d'écriture exceptionnel
⬤ évoque des émotions fortes
⬤ lecture rapide
⬤ histoire captivante et immersive.
Laisse les lecteurs avec plus de questions que de réponses ; ne se termine pas proprement.
(basé sur 2 avis de lecteurs)
The White Room
The White Room de Cynthia Pitman est plein de mystère et de perspicacité. Ses pages explorent la perte et l'absence, mais aussi une fécondité paradoxale. De nombreux poèmes sont en effet riches en couleurs - les teintes verdoyantes et sanglantes de la nature, la sagesse réfractée de l'histoire, du mythe et du moi. "Je cisèlerai les murs / de l'air que je respire", déclare-t-elle dans le poème-titre. Le "je" poétique de ces pages est à la fois profondément personnel et généreusement imaginatif. Le langage accessible mais finement ajusté de Pitman embrasse le pouvoir de la poésie de défier - comme la lune, "nulle part il n'y a de sphère plus dangereuse" - et, ce faisant, il revisite, chérit et guérit.
-Sarah Law, rédactrice en chef, Amethyst Review.
La poésie de Cynthia Pitman est tranchante et sombrement délicieuse. Ses vers sont rapides et riches, avec des tons profonds qui font écho aux teintes de la cruauté de la nature, mais aussi à la beauté spirituelle et succincte que l'on perçoit dans un vent froid ou une mousson tropicale sombre. La glace tranquille dans chaque mot de son œuvre entraîne le lecteur dans une danse élégante dans les ombres de la mort, et tout cela sans peur, avec un œil plutôt vers la beauté de chaque lendemain silencieux.
-Earl Wynn, rédacteur en chef, Leaves of Ink.
The White Room de Cynthia Pitman est un recueil de poésie magnétique qui est profondément préoccupé par l'inévitable. Du début à la fin, la poésie de Pitman parle de beauté, de jeunesse et de calme en même temps que de laideur, de mort et de chaos. Elle parle d'abri et de confort, mais aussi de vulnérabilité et de douleur, de perte, de désir, de possession et de satisfaction. Le calme de la journée est menacé par une tempête à venir. L'innocence de la jeunesse est souillée par le fatalisme de l'esprit vieillissant. Les inventions de l'humanité sont mises à mal par les éléments. The White Room met en lumière les interruptions qui assaillent invariablement nos vies, mais aussi le pouvoir fortifiant de les affronter avec grâce.
-Brian Geiger, éditeur, Vita Brevis.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)