Note :
Ce livre est une histoire poignante et magnifiquement illustrée sur la perte et la guérison, qui se concentre spécifiquement sur l'impact des tsunamis de 2011 au Japon. Il explore les thèmes du deuil, de l'espoir et du lien avec les êtres chers décédés, ce qui le rend particulièrement adapté aux enfants confrontés à la perte d'un être cher.
Avantages:Un récit bien conçu, de belles illustrations, efficace pour entamer des conversations sur le deuil, une approche douce adaptée aux enfants, un mélange de chagrin et de beauté, un espace pour la réflexion et l'émotion.
Inconvénients:Certains lecteurs ont trouvé ce livre assez cher.
(basé sur 7 avis de lecteurs)
The Phone Booth in Mr. Hirota's Garden
★ « Smith nous livre un récit calme et émouvant... Les illustrations à grande échelle de Wada, de style woodblock, complètent parfaitement le texte sobre de l'histoire... La manière gracieuse dont ce livre traite un sujet sensible et sérieux en fait un premier achat."-- School Library Journal
Lorsque le tsunami a détruit le village de Makio, ce dernier a perdu son père... et sa voix. Le village entier est réduit au silence par le chagrin, et la colère du jeune enfant contre l'océan grandit. Un jour, son voisin, M. Hirota, entreprend un projet mystérieux : la construction d'une cabine téléphonique dans son jardin. Makio est d'abord perplexe : le téléphone n'est relié à rien. Il reste là, incapable de sonner. Mais comme de plus en plus de villageois sont attirés par la cabine téléphonique, son but devient clair pour Makio : le téléphone déconnecté relie les gens à leurs proches disparus. Makio appelle la mer à lui rendre ce qu'elle lui a pris et finit par trouver sa voix et son réconfort dans un téléphone qui transporte des mots au gré du vent.
La cabine téléphonique dans le jardin de M. Hirota s'inspire de l'histoire vraie du téléphone à vent d'Otsuchi, au Japon, créé par l'artiste Itaru Sasaki. Il a construit la cabine téléphonique pour pouvoir parler à son cousin décédé, en disant : « Mes pensées ne pouvaient pas être transmises par une ligne téléphonique ordinaire, je voulais qu'elles soient portées par le vent. » Le tremblement de terre et le tsunami de Tohoku en 2011 ont détruit la ville d'Otsuchi, faisant 10 % des victimes. Les habitants d'Otsuchi et les pèlerins des autres communautés touchées se rendent au téléphone à vent depuis le tsunami.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)