Note :
Le livre « The Good Country Equation » de Simon Anholt est salué pour sa narration captivante et son analyse perspicace des problèmes mondiaux. Il plaide en faveur de la collaboration entre les nations et présente des solutions concrètes pour relever des défis urgents, qui ont trouvé un écho particulier lors de la pandémie de COVID-19. Si de nombreux lecteurs le trouvent instructif et stimulant, certains lui reprochent d'être trop anecdotique et de manquer de rigueur académique.
Avantages:⬤ Inspirant et motivant avec un appel positif à l'action.
⬤ Une narration engageante avec des expériences personnelles vivantes.
⬤ Fournit des suggestions concrètes pour la coopération mondiale.
⬤ Accessible et facile à lire, rendant les idées complexes compréhensibles.
⬤ Offre un aperçu de la communication interculturelle et de la citoyenneté mondiale.
⬤ Pertinence dans le contexte des défis mondiaux actuels.
⬤ Certains lecteurs trouvent que le récit est trop anecdotique et qu'il manque d'analyses fondées sur des données.
⬤ Critiques sur la crise d'identité du livre en ce qui concerne son orientation et sa structure.
⬤ Quelques-uns ont estimé que le livre avait besoin de plus d'exemples de la vie réelle et de mises à jour pour rester pertinent.
⬤ Tous les lecteurs n'ont pas apprécié l'humour, certains estimant qu'il nuisait aux discussions sérieuses.
(basé sur 22 avis de lecteurs)
The Good Country Equation: How We Can Repair the World in One Generation
Non seulement Anholt explique les défis auxquels le monde est confronté avec une clarté unique, mais il fournit également des solutions véritablement nouvelles, informatives, pratiques et innovantes.... Ce livre est incontournable pour tous ceux qui se soucient de l'avenir commun de l'humanité".
--H. E. Mohamed Abdullahi Mohamed (Farmaajo), Président de la République fédérale de Somalie.
Pourquoi le monde ne fonctionne-t-il pas ? Pourquoi, malgré toute la puissance, la technologie, l'argent et les connaissances que l'humanité a accumulés, sommes-nous toujours incapables de relever les défis mondiaux tels que le changement climatique, la guerre, la pauvreté, les migrations, l'extrémisme et l'inégalité ?
Simon Anholt a passé des décennies à aider des pays, de l'Autriche à la Zambie, à améliorer leur position internationale. À l'aide de descriptions colorées de ses expériences - dîner avec Vladimir Poutine dans sa maison de campagne, premier trajet en métro à Mexico d'un groupe de conseillers de Felipe Calderon, visite d'un magnifique hôpital public en Afghanistan que personne ne voulait utiliser parce qu'il se trouvait dans un territoire contrôlé par les talibans -, il raconte comment il a commencé à trouver des réponses à cette question.
En fin de compte, Anholt a trouvé l'équation du bon pays, une formule pour encourager la coopération internationale et réinventer l'éducation à l'ère de la mondialisation. Anholt propose même un argument "égoïste" en faveur de la coopération : il montre qu'elle génère de la bonne volonté, qui se traduit à son tour par une augmentation du commerce, des investissements étrangers, du tourisme, de l'attraction des talents et même des succès électoraux au niveau national. Anholt insiste sur le fait que nous pouvons changer le comportement des pays et la façon dont les gens sont éduqués en une seule génération - parce que c'est tout le temps dont nous disposons.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)