L'Écosse libre ou le désert : L'insurrection radicale de 1820

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L'Écosse libre ou le désert : L'insurrection radicale de 1820 (J. Dowds T.)

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Titre original :

Scotland Free or a Desart: The Radical Insurrection of 1820

Contenu du livre :

Le mercredi 4 avril 1820 en fin de journée, Andrew Hardie conduit un groupe de deux douzaines d'hommes de Glasgow vers Falkirk afin d'obtenir des armes pour un soulèvement général qui, selon eux, était sur le point de commencer pour obtenir le droit de former des syndicats, le droit de vote et un parlement écossais. À Condorrat, ils sont rejoints par d'autres radicaux menés par John Baird, qui prend la tête du groupe, et se mettent en route pour Carron Ironworks. À Bonnymuir, ils sont confrontés à la cavalerie et, après un engagement bref et acharné, ils sont vaincus et nombre d'entre eux sont capturés et emmenés au château de Stirling en attendant d'être jugés.

Le lendemain, James Wilson prend la tête d'un autre petit groupe de Strathaven pour rejoindre l'insurrection dont on lui avait dit qu'elle était en cours à Glasgow. Ne trouvant pas d'armée radicale sur place, ils rentrent chez eux, mais sont ensuite rassemblés par l'armée et emmenés à Glasgow pour y être jugés.

Les autorités organisent des raids dans plusieurs villes pour arrêter les radicaux connus ou suspectés, et plus de quatre-vingts hommes sont finalement accusés de trahison. L'action militaire donne lieu à des affrontements et, à Greenock, les troupes tirent sur la foule, tuant hommes, femmes et enfants le 8 avril. Quelques mois plus tard, dans la même ville, un marin et deux policiers ont été abattus par des troupes ivres envoyées pour maintenir l'ordre.

L'ordre étant apparemment rétabli, des simulacres de procès furent organisés à Ayr, Dumbarton, Glasgow, Paisley et Stirling, mais en vertu du droit anglais et non du droit écossais, ce qui donna lieu à des affrontements dans la salle d'audience. Les personnes prises en armes sont déclarées coupables, mais ailleurs, les jurys sont plus réticents à condamner, se disputant parfois avec les juges avant d'acquitter la plupart des prisonniers. Les trois leaders, John Baird, Andrew Hardie et James Wilson, furent pendus et décapités, et dix-huit autres envoyés comme forçats en Nouvelle-Galles du Sud.

L'insurrection de 1820 a été largement ignorée par les historiens, et même le compte rendu des audiences n'existe plus. Si le massacre de Peterloo et les martyrs de Tolpuddle figurent à juste titre dans les programmes d'histoire des deux côtés de la frontière, ce n'est pas le cas de l'histoire des hommes de 1820. Ce livre tente de donner aux hommes de 1920 leur place dans l'histoire de la démocratie dans ce pays en utilisant de nouvelles preuves pour examiner les raisons pour lesquelles ils ont pris les armes et les raisons de leur défaite. Il examine ce qu'il est advenu des transportés et montre qu'ils n'étaient pas les naïfs délirants que certains ont prétendu, comme le prouvent leurs écrits.

Autres informations sur le livre :

ISBN :9781782227496
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Langue :anglais
Reliure :Broché

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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)