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The Future Perfect: A Fugue
Dans The Future Perfect : A Fugue, Eric Pankey nous dit que "ce qui compte, c'est le méli-mélo", nos "jours en désordre vaguement cousus à la page suivante.... Pourtant, avoue-t-il, "on pourrait perdre le sommeil à donner un sens à l'ensemble des ceci et cela". Comment ne pas "se projeter dans l'avenir", ne pas "voir le passé comme un présage" ? écrit-il. Comment éviter de penser au vide ? Une question inquiétante succède à une autre dans l'unique poème polyphonique de ce recueil. Au lieu de réponses, Pankey nous offre le plaisir de sa musique toujours magnifique. De la part d'un tel virtuose, 'ces notes, ces intervalles' sont tout ce que nous pouvons demander.
-Allison Funk.
"La portée du recueil est épique - la danse est créée, le Minotaure affronte le labyrinthe, les outils de pierre disparaissent, Thomas le sceptique touche la blessure ; et finalement, l'avenir semble être une disparition, à la fois pour la terre et pour l'individu : 'le murmure de l'encre qui sèche'. Tout est éphémère, mais nous voyons le narrateur visualiser l'ici et le maintenant dans des buissons envahis de fleurs violettes, une maison en feu, un ciel opaque, des lunes, des impulsions de pluie, la lumière sous toutes ses formes. Les images apparaissent et disparaissent, se répètent et s'entrecroisent comme dans une fugue musicale, la voix impersonnelle s'interrogeant sur la simultanéité de ce qui se passe, sur le passé en désordre, sur la mémoire elle-même. Ce qui m'émeut le plus, c'est d'assister à ce que le narrateur appelle l'apparition d'un corps qui s'exerce à la présence. C'est cette hésitation, cet effort reconnu - ces poèmes".
-artha Ronk.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)