Daybreak
Poésie. Le poème titre de DAYBREAK de William Fuller commence par quelque chose d'abstrait.
« Au lever du jour, on voit des réceptacles de la veille et, dans ces réceptacles, des chaînes d'associations. De ces associations émergent des « yeux émanant une douce lumière rouge ». Des considérations pratiques suivent - y compris les conséquences fiscales de ces associations - sans peser sur le libre vol de la métaphore en tant que véhicule d'une « pensée transparente et ininterrompue ».
Les pronoms définis sans antécédents prennent aussi une présence physique, aussi réelle que l'histoire des idées. Chaque poème de ce recueil construit un palais de la mémoire sur la façon d'oublier.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)