Note :
Les critiques soulignent que le livre est une ressource précieuse pour ceux qui s'intéressent à l'armée autrichienne à l'époque napoléonienne, en particulier parce qu'il se concentre sur les uniformes, l'organisation des unités et la rébellion du Tyrol en 1809. Toutefois, la qualité de l'édition et de la production, ainsi que le prix, posent problème.
Avantages:⬤ Variété du contenu couvrant les différentes branches de l'armée
⬤ comprend des sections intéressantes sur les uniformes et la rébellion du Tyrol
⬤ quelques impressions couleur uniques
⬤ convient aux wargamers et aux passionnés de l'armée
⬤ ressource complète sur la cavalerie autrichienne.
⬤ Peu de comptes-rendus détaillés de batailles en raison de l'étendue du contenu sur 98 pages
⬤ certaines images sont répétitives et de moindre qualité
⬤ mauvaise qualité d'édition et de production
⬤ prix considéré comme excessif par certains.
(basé sur 3 avis de lecteurs)
The Austrian army 1805-1809 - vol. 3: Cavalry, Artillery & other forces
La grande réorganisation de la cavalerie eut lieu à la fin de l'année 1801 et se traduisit par une réduction des régiments, avec l'augmentation du nombre d'escadrons, désormais au nombre de huit, afin de former quatre divisions de deux escadrons chacune. Avec l'augmentation mentionnée des divisions, en 1802, chaque régiment allemand avait un second major, ce qui a créé la quatrième division, comme c'était déjà le cas chez les hussards et les Uhlans, l'appelant la "deuxième division de majors". Chaque régiment disposait officiellement d'une division Leib (1ère) ou Obrist, d'une division Lt. Colonel et des 1ère et 2ème divisions Major.
Les Curassiers et les Dragons deviennent la cavalerie lourde officielle, abandonnant le terme détourné de Dragons légers, tandis que les Chevaux-légers, les Hussards et les Uhlans deviennent la cavalerie légère. Après la campagne de 1805 (Verordnung du 1er août 1806), les deuxièmes Major-divisions furent dissoutes, dans les régiments allemands de cavalerie lourde, qui reprirent la position de six escadrons (à la guerre, il y avait toujours un escadron de réserve agissant comme une formation de cadre, comme auparavant).
La confusion des uniformes s'est accentuée en 1802, à l'occasion de la nouvelle conversion de certains régiments de dragons en régiments de chevaucheurs, lorsqu'il a été prescrit, pour les deux types de branches, la couleur rocaille blanche et une parementure égale soit pour les dragons, soit pour les régiments de chevaucheurs, sauf que les premiers avaient des boutons blancs, au lieu de boutons dorés. Mais en 1807, on commanda à nouveau un rocher vert pour trois régiments de Chevauxlegers.
C'est sur cette base quelque peu ambiguë que la cavalerie autrichienne aborda la campagne de 1809, au cours de laquelle elle eut de multiples occasions d'honorer le champ de bataille.
Ce volume mentionne également les différentes branches de l'armée de service, qui furent d'ailleurs les structures les plus stables de la K. K Wehrmacht pendant les guerres napoléoniennes.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)