Note :
Les critiques de « L'amour comme l'eau, l'amour comme le feu » de Mikhail Iossel présentent un livre riche en humour, en pathos et en profondeur narrative, centré sur la vie en Union soviétique. Les lecteurs sont partagés quant à leur expérience du livre, beaucoup appréciant sa narration unique et sa résonance émotionnelle, tandis que d'autres lui reprochent d'être répétitif ou de manquer d'engagement.
Avantages:Le livre présente une écriture superbe qui mêle humour et art, une narration mémorable qui transporte les lecteurs à différentes époques de Leningrad, et offre un aperçu profond de l'absurdité et de l'humanité de la vie à l'époque soviétique. Certaines histoires sont mises en avant pour leur caractère poignant et leur capacité à susciter des émotions fortes. La maîtrise de la langue d'Iossel et ses perspectives uniques sur les expériences de l'enfance en URSS sont fréquemment louées.
Inconvénients:Certains lecteurs ont trouvé que certaines histoires manquaient de qualité, ce qui dénote une certaine incohérence dans le recueil. Certains ont critiqué l'utilisation de la politique, et d'autres ont perçu l'écriture comme trop complaisante ou prétentieuse. En outre, quelques critiques ont fait état de répétitions dans la narration et d'une tendance aux clichés et aux techniques narratives fastidieuses.
(basé sur 16 avis de lecteurs)
Love Like Water, Love Like Fire
"On ne peut s'empêcher de tourner les pages de ce livre. -- Ilya Kaminsky, New York Times Book Review
" L'amour comme l'eau, l'amour comme le feu est un livre extraordinaire : drôle et profond, émouvant et provocateur. Rarement la vie en ex-URSS (ou ailleurs, d'ailleurs) n'a été dépeinte avec un tel mélange d'observation et de détails finement rendus. Il s'agit d'un recueil magnifiquement construit par l'un de nos écrivains les plus spirituels et les plus perspicaces". -- Molly Antopol, auteur de The UnAmericans.
"Mikhail Iossel est un génie, un visionnaire comique dans la tradition de Gogol, Keret, Barthelme et Saunders. -- Brian Morton, auteur de Starting Out in the Evening et Florence Gordon.
Dès sa fondation, l'URSS a été vilipendée et admirée, diabolisée et idéalisée. De nombreux Juifs voyaient dans la nouvelle société inaugurée par la révolution russe leur salut par rapport à la vie du shtetl, avec ses privations et ses pogroms meurtriers. Mais la Russie soviétique était en proie à l'antisémitisme, et un garçon juif qui grandissait à Leningrad en tirait des leçons précoces, dures et durables.
Sans complaisance et poignants, les vingt récits de Mikhail Iossel sur l'enfance et l'âge adulte soviétiques, la dissidence et l'immigration qui s'en est suivie, sont remplis d'esprit et d'humour même s'ils décrivent les absurdités quotidiennes d'une réalité inconstante et souvent périlleuse.
Mikhail Iossel a immigré aux États-Unis en 1986 en provenance de l'ex-URSS et est professeur agrégé d'anglais à l'université Concordia de Montréal. Ses récits et essais ont été publiés dans le New Yorker, le New York Times Magazine, Best American Short Stories et ailleurs.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)