Note :
Le livre « I Wear the Black Hat » de Chuck Klosterman explore le concept des méchants dans la culture pop, en examinant les perceptions sociétales et les complexités de la définition du bien et du mal. Les essais sont stimulants et engageants, bien que certains lecteurs aient trouvé le lien avec le thème de la méchanceté trop lâche ou superficiel.
Avantages:L'écriture est vive, perspicace et accessible, avec l'humour caractéristique de Klosterman. L'exploration de divers sujets, y compris des personnages célèbres et des références à la culture pop, est captivante. Beaucoup ont trouvé ce livre agréable et stimulant, appréciant les commentaires intelligents et irrévérencieux sur les normes sociétales. Le thème central de la méchanceté offre une structure cohérente que de nombreux lecteurs ont trouvée gratifiante.
Inconvénients:Plusieurs lecteurs ont noté que les essais pouvaient sembler complaisants ou manquer de concentration, certains préférant les œuvres antérieures de Klosterman. Les critiques ont porté sur la superficialité perçue de l'exploration du mal, et certains ont estimé que le livre n'approfondissait pas suffisamment les complexités de la méchanceté. Quelques critiques ont trouvé que l'écriture était parfois fastidieuse ou trop verbeuse.
(basé sur 235 avis de lecteurs)
I Wear the Black Hat: Grappling with Villains (Real and Imagined)
Chuck Klosterman, critique culturel unique en son genre et auteur de best-sellers du New York Times, "offre des faits remarquables, des aperçus culturels intéressants et des calculs moraux qui donnent à réfléchir dans ce regard sur notre histoire d'amour avec l'anti-héros" (New York Magazine).
Chuck Klosterman, "l'éthicien" du New York Times Magazine, est entré dans l'obscurité. Dans I Wear the Black Hat, il remet en question la conception moderne de la méchanceté.
Lorsque nous qualifions quelqu'un de mauvais, que disons-nous vraiment et pourquoi sommes-nous si obsédés par cette affirmation ? Comment fonctionne la culture de la malveillance ? En quoi Machiavel était-il si machiavélique ? Pourquoi ne voyons-nous pas Bernhard Goetz de la même manière que nous voyons Batman ? Qui mérite le plus notre vitriol : Bill Clinton ou Don Henley ? Quelle a été la deuxième pire décision d'O. J. Simpson ? Et pourquoi Klosterman est-il toujours hanté par un gamin qu'il n'a connu qu'une semaine en 1985 ? Mêlant magistralement l'analyse culturelle à l'auto-interrogation et aux hypothèses imaginatives, I Wear the Black Hat livre des observations perspicaces sur la complexité de l'antihéros (apparemment le seul type de héros que l'Amérique crée encore).
Comme le note le Los Angeles Times : "En soulignant les façons contradictoires et souvent irréfléchies dont nous rencontrons les héros et les méchants de notre culture, Klosterman illustre les calculs passionnés mais incomplets qui en sont venus à définir la culture américaine - et peut-être même la moralité américaine". I Wear the Black Hat est un rare exemple de critique sérieuse immédiatement accessible et vraiment, vraiment drôle.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)