Note :
Ce livre explore la vie et l'esprit du tueur en série Keith Jesperson, en combinant des récits à la première personne et les réflexions de l'auteur. De nombreux lecteurs ont trouvé le récit captivant, offrant une plongée en profondeur dans la psyché de Jesperson et dans son passé. Cependant, certains ont critiqué l'équilibre entre le récit de Jesperson et l'analyse de l'auteur, suggérant que le livre s'appuyait parfois trop sur le point de vue de Jesperson.
Avantages:⬤ Offre de grandes perspectives sur l'esprit d'un tueur en série.
⬤ Les récits de Jesperson à la première personne sont captivants.
⬤ Bien écrit avec un mélange de profondeur émotionnelle et d'intrigue.
⬤ Deux récits captivants explorant à la fois les pensées de Jesperson et sa relation troublée avec son père.
⬤ Un regard glaçant sur la brutalité de ses actes.
⬤ Trop axé sur le point de vue de Jesperson, certains lecteurs l'ont trouvé égocentrique et moins intéressant.
⬤ Manque de photos, ce qui a déçu certains lecteurs à la recherche d'un contexte visuel.
⬤ Par moments, les récits de Jesperson ont semblé répétitifs ou excessifs.
⬤ Certains lecteurs s'attendaient à plus d'analyse et moins de narration du point de vue du tueur.
⬤ Le contenu graphique peut rebuter les lecteurs sensibles.
(basé sur 107 avis de lecteurs)
I: The Creation of a Serial Killer
Dans les propres mots du tueur...
« J'ai tué Tanya Bennett... Je l'ai battue à mort, je l'ai violée et j'ai adoré ça. Oui, je suis malade, mais je m'amuse aussi. Les gens ont pris le blâme et je suis libre..... Regardez par-dessus votre épaule. Je suis peut-être plus près que vous ne le pensez » - Keith Hunter Jesperson, le tueur au visage heureux.
En février 1990, la police de l'Oregon a arrêté John Sosnovke et Laverne Pavlinac pour le viol et le meurtre de Taunja Bennet, 23 ans. Laverne Pavlinac était passée aux aveux, impliquant son petit ami et produisant des preuves matérielles qui les reliaient au crime. Les autorités ont classé l'affaire. Il n'y avait qu'un seul problème. Ils n'avaient pas les bonnes personnes...
Keith Hunter Jesperson était un chauffeur de poids lourds et le meurtrier de huit femmes, dont Taunja Bennet. Il a entamé une campagne tordue pour obtenir la libération de Sosnovke et Pavlinac. Aux rédacteurs en chef des journaux et sur les murs des aires de repos des autoroutes, Jesperson a griffonné une série d'aveux moqueurs. À la fin de chaque confession, Jesperson dessine un visage heureux, ce qui lui vaut l'horrible sobriquet de « tueur au visage heureux ».
S'appuyant sur des entretiens, des journaux intimes, des dossiers judiciaires et sur le criminel lui-même, I : La création d'un tueur en série est l'histoire glaçante de Jesperson. Jack Olsen, lauréat du prix Edgar, laisse le tueur raconter son histoire avec ses propres mots, offrant ainsi un aperçu sans précédent du processus de pensée tordu d'un meurtrier en série.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)