Revue de presse.
Hôtel de La Providence prend le pouls des souvenirs d'enfance. Une joie mélancolique enveloppe les poèmes, compliquée par une énergie de ravissement. Par exemple, dans « Alegría », nous sommes invités à ramper sur « des tas de boue, des marches, dans le sable, sur des cailloux, ou des pierres, / douces et pointues », tandis que « Le voilier » nous fait traverser des vagues d'exil : nous sommes arrachés au passé, réalistes quant au présent. Ce recueil aspire à une maison, une maison que la poétesse n'habite plus que dans sa mémoire.
--Monica Minott, auteur de Kumina Queen.
Les abeilles de Maya Ribault bourdonnent autour de ses ancêtres et nous invitent à reconsidérer les notions de lieu en nous présentant des scènes que nous croyons connaître, mélangées à des noms de couleurs de vernis à ongles et à des peurs de pêcheurs. Ribault nous offre des manoirs qui jubilent et des t-shirts qui crient, tandis que des machines polissent des coquillages et qu'un nuage cherche un endroit où se cacher. Ce sont des poèmes qui brillent et qui bougent. Les mots jaillissent de la page.
--Rena J. Mosteirin, auteur de Moonbit, Nick Trail's Thumb et de baleines à moitié fabuleuses.
À propos de l'auteur.
Maya Ribault est diplômée du Bennington Writing Seminars. Sa poésie, y compris une traduction, a été publiée dans Cloudbank, North American Review, Speak, The New Yorker, The Southampton Review Online, et est à paraître dans Agni et Bloodroot.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)